tentation vue par edward et autres surprise

Je t’aime Papa.
Adieu

Esmé,
Je sais que je vais te faire souffrir plus que les autres. Mais imagine seulement, deux minutes que Carlisle ne soit plus de ce monde. Quels serait ta réaction ? Tu es la meilleure mère que l’on puisse rêver.
Je t’aime très fort.
Adieu.

Alice,
Petite sœur, ne t’en veux pas de ma mort. Tu ne pourrais pas m’en empêcher de toute façon. J’aurais peut-être du t’écouter et rester auprès d’elle. Maintenant tout est fini, et je ne peux pas vivre en sachant que je ne la verrais plus jamais.
Je t’aime petite sœur.
Adieu.

Jasper,
Je sais que tu vas te sentir coupable plus que les autres. Mais je ne tiens rigueur de rien. C’est mon destin, c’est comme ça que ma vie devait se dérouler. Occupe-toi bien d’Alice, je sais que pour elle ça va être dur.
Je t’aime mon frère.
Adieu.

Rosalie,
Je te remercie de m’avoir dit la vérité sur la mort de Bella. Je sais que tu ne pensais pas que j’irais aussi loin. Ce n’est pas la peine de t’en vouloir, de toute façon je l’aurais découvert un jour.
Je t’aime, ma petite Rose.
Adieu.

Emmett,
S’il te plait, garde le sourire malgré ma mort. Tu es le plus fort de la famille, alors il faudra que tu les consoles. Nos jeux me manqueront, mais au moins, maintenant tu pourras gagner. Prends bien soin de Rosalie, protège là.
Je t’aime petit frère.
Adieu.
Ses mots furent durs à écrire, mais il le fallait pour qu’ils ne réclament pas vengeance. Je pliai la lettre, la mis dans une enveloppe au nom de Carlisle et la mis dans la poche de ma veste.
Après plusieurs heures on frappa à ma porte. Démétri et Félix me dirent de les suivre.
Démétri : « Ce gars est complètement fou, mourir pour une humaine, n’importe quoi ! »
Démétri est depuis de nombreuses années au service des Volturi. C’est un traqueur un peu spécial, il capte non pas l’odeur, mais la senteur. C’est un peu compliqué mais en tout cas il est doué.
Félix : « Moi, je l’aurais changé en vampire, ceci aurait été plus simple. »
Félix est un garde des Volturi, il est très doué, il tue les vampires sans aucun problème.
Nous retournions dans la même salle où j’étais venu un jour plus tôt.
_ Bonjour messieurs, dis-je.
Je lu, qu’ils avaient plusieurs question a me posé et surtout pourquoi je ne l’avais pas transformé. Instinctivement je répondis.
_ Si je ne l’ai pas transformé, c’est que je voulais qu’elle vive une vie d’humaine. C’est pourquoi, je me suis éloigné d’elle.
Ils ne parurent pas contents que je lise dans leurs pensées. Je repris.
_ Désolé, c’est une habitude.
_ Ce n’est rien dit Aro. Voila étant donné que Bella est morte, notre secret est toujours caché. Donc nous oublions que tu as enfreins la loi. Par contre nous voudrions te proposer autre chose…
Je lus ce qu’il voulait de moi.
_ Non ! Le coupais-je. Je suis venu pour que vous me tuer et non pour faire parti des vôtres. Tu as bien vu que je ne pouvais vivre sans elle. Et le sang humain n’y changera rien. Je sais que Carlisle est un de vos amis mais il ne cherchera pas à me venger. J’ai lu dans Caïus qu’il voulait me tuer ! Alors fait-le ! Je veux mourir vous comprenez ! Tonnais-je.
_ Calme toi, Edward. Nous te laissons deux jours pour réfléchir à notre proposition. Imagine, tu seras protégé, tu auras de la nourriture à volonté. Puis tu l’oublieras ton humaine, ce n’est rien dit Caïus.
_ C’est tout réfléchit, c’est non. Je veux mourir, leur dis-je.
_ Démétri, Félix, faite le sortir intervint Aro. Dans deux jours, tu nous donneras ta décision, pour le moment tu sors et tu réfléchis.
« Mais fait attention, pas d’action dangereuse, tous les gardes te surveille. » me dit-il par la pensée.
Je suivis les deux gardes :
« Moi, je veux bien le tuer, ceci ne me pose pas de problème. Et même s’il essaye de s’échapper je le traquerais et le retrouverais sans aucun problème. » Pensa Démétri.
« Un vampire qui veut mourir ! Jamais vu ça. Mais je veux bien le tuer. » Pensa Félix.
Ils me firent sortir par une porte latérale et me laissèrent seul dans la rue. Je courus jusqu'à la forêt pour me cacher et pour réfléchir. Je montai tout en haut d’un sapin et m’assit sur une branche. Il fallait que je remette mes idées dans l’ordre :
1/ Si les Volturi ne me tuait pas, je ne pourrais jamais rejoindre Bella. Il faut que je les pousse à me tuer. Je savais que Volterra n’avais jamais fait parler d’elle, mais si je tuais des personnes, ils ne seraient pas content et il me tuerait. Non, je laissai tomber cette idée, je ne pouvais pas tuer des innocents.
Je pouvais m’en prendre à la garde, sachant qu’il me surveillait, mais peut être qu’il me ramènerait vivant devant les Volturi. Ou alors je me donne en spectacle, je pourrais soulever une voiture au-dessus de ma tête sur la place principale, ceci les mettraient en colère.

Je savais que la chasse était interdite à Volterra, je pouvais boire du sang humain. Je secouai la tête, non, je ne pouvais pas. Je ne devais pas décevoir ma famille.
2/ Les Volturi, m’offrait une place parmi eux, et je savais qu’Aro avait aussi des vues sur Alice. Hélas, leur mode de vie était complètement différent du mien. Est-ce que je pourrais encore boire du sang humain ? Peut être pas, surtout en sachant que la seule personne que j’ai aimée était humaine. Non c’était impossible, il fallait qu’il me tue.
Donc, déjà je savais, que jamais je ne rejoindrais leur rang, mais en plus il fallait que je trouve une idée pour me faire tuer. Il faut que j’ai le plus de témoins possible, comme ça ils n’auront aucune raison de me laisser en vie. Une idée, me vint après 6h de cogitations. Demain, nous serions le 15, c’est le jour où la ville célèbre la St Marcus. Des milliers de visiteurs viennent fêter l’évènement. La légende, raconte qu’un missionnaire chrétien, père Marcus a chassé les vampires de Volterra il y a 1500 ans. Puis il serait mort en martyr en Roumanie où il poursuivait sa traque. Bien sur ceci ne sont que des légendes. Marcus, n’avait jamais quitté Volterra et il était bel et bien un vampire.
Demain, serait mon dernier jour sur Terre et enfin, je ne souffrirais plus d’avoir perdu mon âme sœur

Chapitre 8

Toute la nuit, je ne pensai qu’a elle, à ses yeux, sa bouche, son odeur, ses cheveux… Bientôt je serais auprès d’elle et on ne se quittera plus jamais.
Vers 11h45 je sortis des bois, pour atteindre la Pallazzo dei Priori. La place était noire de monde. Tous allaient me voir briller comme un diamant au soleil, cette fois les Volturi n’auront pas d’autre choix que dans finir avec moi. J’atteignis une petite ruelle sombre à droite de la tour de l’horloge.
Il était 11h55, j’enlevai ma chemise et la laissât tomber par terre. Quelques badeaux me regardaient interloqués. Ceci n’avait aucune importance. Je savais que plusieurs gardes étaient là, et il me surveillait, attendant que je commette une faute pour me tuer. Je fermais les yeux, j’étais serein, je savais que cette fois ci ma décision était la bonne.
12h. La cloche sonna une première fois. Je décidai de prendre mon temps. Je repensais à elle et au faite que dans quelques secondes nous serons réunis. Au bout du quatrième coup, je levai le pied pour franchir la zone d’ombre.
D’un coup quelqu’un me heurta de plein fouet, je retenais la personne. Je sentis son odeur, c’était Bella. J’ouvris les yeux lentement de peur que se soit un rêve.
_ Etonnant, dis-je. Carlisle avait raison.
Il existe bien un paradis pour les âmes damnées et Bella était là avec moi. Mon rêve se réalisait enfin.
_ Edward ! Il faut que tu regagnes la pénombre. Bouge ! dit-elle.
Hum, cette voix, elle m’a tellement manqué. La sensation de son corps chaud contre le mien me fit du bien. Je lui caressai la joue, merveilleux, toujours cette sensation de brulure. Même mort, je ressentais tous, c’était incroyable.
_ Je n’en reviens pas que ça été aussi vite, chuchotais-je en appuyant mes lèvres contre ses chevaux. Je n’ai rien senti. Ils sont décidément très forts.
Je pensais qu’ils allaient me faire souffrir le martyr pour mon geste, et je ne me serais pas défendu. Mais non, je ne me suis aperçu de rien.
_ La mort, qui a sucé le miel de ton haleine, n’étend pas son empire sur ta beauté, murmurais-je.
Nous étions les Roméo et Juliette des temps moderne.
_ Tu as exactement la même odeur que d’habitude, continuais-je. C’est donc ça l’enfer ? Tant pis ! Je l’accepte.
_ Je ne suis pas morte ! S’emporta-t-elle. Et toi non plus ! S’il te plait, Edward, fichons le camp d’ici ! Ils ne doivent pas être loin.
Je ne comprenais rien à ce qu’elle disait. Pourquoi essayait-elle de s’éloigner de moi ?
_ Plait-il ? Lui demandais-je.
_ Nous sommes vivants. Pour l’instant. Mais il faut que nous décampions avant que les Volturi…
Oh mon dieu ! Nous sommes vivants tous les deux. Vite il faut que nous partions. Rosalie m’a menti ! J’attrapai Bella et la colla dos au mur, je me mis devant elle pour la protéger. Je sentis Démétri et Félix arriver.
_ Salutations, messieurs, lançais-je le plus calmement possible. Il semble que je n’aurais pas besoin de vos services aujourd’hui. Cependant je vous saurais infiniment gré de remercier vos maitres pour moi.
_ Pouvons nous converser en des lieux plus appropriés ? Chuchota Félix.
_ Cela ne sera pas nécessaire, répondis-je sèchement. Je connais vos instructions, Félix et je n’ai enfreint aucune loi.
_ Félix voulait seulement souligné la proximité du soleil, intervint Démétri.
Je savais qu’il ne me lâcherait pas. Il fallait que je mette Bella à l’abri.
_ Cherchons un abri plus adaptés continua Démétri.
_ Je vous suis. Bella retourne donc sur la place et profite des festivités.
_ Non, que la fille vienne, exigea Félix.
« Puis quand on en auras fini avec toi, je m’occuperais personnellement de ta jolie copine. »
_ Pas question !
Mon corps se mit en position d’attaque. Jamais il ne toucherait Bella avec ses sales pattes.
_ Non ! Chuchota-t-elle.
_ Chut ! Lui répondis-je.
_ Pas ici Félix ! Dit Démétri. Aro désire juste s’entretenir de nouveau avec toi, puisque tu sembles avoir finalement décidé de ne pas nous forcer la main.
_ Très bien, acquiesçais-je, mais la fille reste libre.
_ J’ai bien peur que ce soit impossible, il y a des règles à suivre.
_ Dans ce cas, j’ai bien peur, moi, de ne pouvoir accepter l’invitation d’Aro, Démétri.
_ C’est aussi bien, ronronna Félix.
_ Aro sera déçu, soupira Démétri.
_ Je suis persuadé qu’il s’en remettra, ripostais-je.
Je savais que je perdrais ce combat, mais tant pis, au moins Bella serait vivante. Puis j’entendis une voix.
« T’inquiète pas, Edward, j’arrive. »
Alice était ici aussi. Le combat serait égal. Je tournai la tête en direction du fond de la ruelle.
_ Allons, allons, un peu de tenue ! Dit-elle. Il y a des dames, ici.
Elle se rangea à mes côtés avec un grand sourire. Félix et Démétri étaient déçus.
_ Nous ne sommes pas seuls, continua-t-elle.
Effectivement, une famille nous regardait en se demandant s’il fallait intervenir ou pas.
_ S’il te plait Edward, sois raisonnable, dit Démétri.
_ Oui. Nous allons partir tranquillement chacun de notre côté, et l’affaire en restera là.
_ Ecoute, soupira Démétri, nous ne voulons que l’opportunité de discuter en paix.
« Puis de vous tuer, toi et ta sœur et de sucer le sang de ta copine. »
_ Non ! Dis-je en serrant les dents.
_ Ça suffit !
Je reconnus la voix de Jane. Cette fois ci nous étions obligés de les suivre. Jane a un don, qui en vous regardant dans les yeux vous fait croire que vous avez mal de partout.

_ Jane ! Soupirais-je.
_ Suivez-moi ! Ordonna-t-elle.
D’un geste, Félix nous invita à lui emboiter le pas. Alice était devant. J’enlaçai Bella par la taille et nous suivîmes. Je savais qu’ils nous restaient peu de temps tous les deux. Je ne voulais plus être éloigné d’elle.
_ Eh bien, Alice, j’imagine que ta présence ici, ne devrait pas me surprendre.
_ Je me suis trompée, il fallait que je répare mon erreur, me répondit-elle.
_ Que c’est-il passé ?
_ C’est une longue histoire. Pour résumer, Bella a bien sauter d’une falaise, mais elle ne tentait pas de ce suicider. Il se trouve juste qu’elle est versé dans les sports extrême, ces derniers temps.
Puis elle me montra la vision de Bella sautant de la falaise. Bella amie avec des loups garous, mais Alice ne pouvait pas les voir. Victoria qui tente de tuer Bella. J’avais fait encore plus de mal en partant. J’aurais du écouter Alice et rester auprès de Bella.
_ Hum ! Fis-je.
Mais en plus, elle n’a pas tenu sa promesse. Vraiment elle ne peut pas rester loin du danger plus de cinq minutes.
D’un coup Bella freina. On devait se laisser tomber dans un trou pour rejoindre la grande salle. Alice avait déjà sauté.
_ N’ais pas peur, lui murmurais-je. Alice te rattrapera en bas.
Elle s’accroupit, balança ses jambes à l’intérieur.
_ Alice ? Chuchota-t-elle.
_ Je suis juste en dessous, Bella, rassura Alice.
Je lui pris les poignets et la fit descendre dans le conduit.
_ Prête ? Demandais-je à Alice.
_ Lâche-la, me répondit-elle.
Je lâchai ses poignets et deux secondes plus tard, elle était dans les bras d’Alice. Je tombai à sa suite dans le conduit. Je m’approchai d’elle, elle me prit par la taille, et nous suivîmes la marche dans cet égout, froid et sombre. Malheureusement, Bella était toujours maladroite et elle trébuchait souvent. Nous marchâmes doucement, je ne la lâchais pas. Je ne savais pas si nous allions nous en sortir. Puis Alice ne voyait rien, ses visions changeaient constamment. Je caressais sa joue, sa bouche, ses cheveux. Comme tous ceci m’avait manqué. Plus jamais je ne pourrais la quitter. Je ne tiendrais pas une journée. J’embrassai ses cheveux, son front. Le venin ne montait plus en moi, malgré les longs mois ou nous avons été séparés. Je me demandais bien pourquoi ? Peut être tout simplement car j’avais cru la perdre pour toujours.
Démétri et Félix soupiraient derrière. Ils en avaient marre de se trainer. Ils se moquaient de la gaucherie de Bella alors que moi je trouvais ça irrésistible. Félix, lui voulait rester seul cinq minutes avec mon adorée Des que je pourrais, je le tuerais. S’il croit que je vais le laisser faire. Je sentis Bella tremblée et claquée des dents. Elle était frigorifiée. Je la relâchai et lui prit que la main.
_ N-n-non, balbutia-t-elle en m’attirant vers elle.
Je la frictionnai pour tenter de lui insuffler un peu de chaleur. J’avais laissé ma chemise dehors, autrement je lui aurait passé.
Nous arrivâmes au bout du souterrain, fermé par une grille. Une petite porte était ouverte sur le côté. J’emmenai Bella de se côté, nous atterrissions dans une grande salle, mais il fallait encore la traversé. Le moment approchai de la rencontre avec les Volturi.

voila ma première surprise!!!
je trouvais que les retrouvailles du livre étaient un peu molle donc voila ce que moi j'aurais aimé comme retrouvaille.



J’avançais dans la lumière, j’étais serein. Les yeux fermés je pensais à ma bien aimée. Nous serrons bientôt réuni.
D’un coup quelqu’un me heurtât. Je reconnus tout de suite cette odeur. C’était la sienne. J’ouvris les yeux surpris. Mais oui, c’était elle, ma Bella.
Elle me regardait effaré.
_ Edward, recule, tu brille dit-elle énervée.
Je reculai, la pris dans mes bras. Je ne comprenais rien.
_ Mais…mais … tu es …Dis-je.
_ Oui, je suis vivante, c’est une longue histoire. Alice c’est trompée.
Je la dévorais des yeux et elle aussi. Je tendis une main et lui caressa le visage. Cette sensation, m’avait tellement manqué. Elle fit le même geste que moi, la brulure sur ma peau était parfaite.
_ Je m’excuse Bella, murmurais-je. Tu m’as manqué mon amour. Excuse-moi. Je m’en veux tellement.
Je lui embrassais les cheveux, son front, son nez, ses joues, les coins de sa mâchoire. Je sentis son cœur s’affoler et sa respiration haleté, puis je vis des larmes perlé le long de ses yeux.
_ Ne t’inquiète pas, me dit-elle. C’est des larmes de bonheur. Tu es tout pardonné. Tu m’as manqué aussi.
Je n’avais qu’une envie c’était de l’embrassé, de la caressé, ne plus la quittée.
_ Puis-je, demandais-je.
_ Quoi ?
_ T’embrasser sur la bouche ? Je peux comprendre que tu dises non. Tu as peut être refait ta vie ? Dis-je tristement.
_ Si tu ne m’embrasse pas tout de suite, je te saute dessus !
Je m’approchai doucement, et nos lèvres se soudèrent, l’instant était parfait. Bien sur Bella ne put se retenir et je la laissais faire. Nos langues s’entremêlèrent, elle crocheta ma nuque avec toute sa force ; Moi ? Je ne cessais de caresser son corps, qui m’avait tant manqué. Plus jamais je ne la laisserais.
J’entendis les gardes arriver, il fallait que je la lâche, à ma plus grande déception.
J’arrêtai doucement ce baiser, je la regardai dans les yeux et lui dit :
_ Je t’aime.
_ Moi aussi, je t’aime, et elle se blottit dans mes bras.
_ Mon amour, nous avons de la compagnie. Ne t’inquiète pas, je vais nous sortir de là et nous serons réunit et heureux.
Elle hocha la tête, me montrant qu’elle avait compris.

voila le début du chap 9 avec une nouvelle surprise!!!

POV ALICE

Je vous expliquerais dans les coms pourquoi c'est alice qui parle et non ed

Chapitre 9
POINT DE VUE D ALICE

J’essayais en vain de voir ce qui allait se passer, mais hélas, tout était brouillé.
Nous montâmes dans un ascenseur, je me mis devant Bella et Edward pour faire barrière.
Plusieurs scénarios étaient possible, je savais qu’Edward les regardait en même temps que moi car des qu’une vision ne lui plaisait pas il se tendait.
Nous débouchâmes dans une réception. Derrière un comptoir, il y avait une femme, une humaine. Je la vis mourir des mains de Félix dans une nouvelle vision. Elle pensait surement qu’il la transformerait, mais hélas quand ils n’auront plus besoin d’elle, ils la tueront.
_ Bonjour, Jane dit-elle avec un grand sourire.
_ Gianna, répondit Jane avec un salut de la tête.
Nous avancions en direction d’une double porte, située au fond de la salle. De l’autre côté, se tenait une salle bien différente de celle que l’on venait de quitter.
Un garçon nous accueillit, on aurait dit le frère jumeau de Jane. D’un hochement de tête, Edward acquis à ma pensée.
Il s’avança vers nous, en tendant la main à Jane.
_ Jane.
_ Alec.
Ils s’embrassèrent sur la joue, puis il nous regarda.
_ Ils t’ont envoyé en chercher un, et tu reviens avec deux… et demi, murmura-t-il en remarquant Bella. Beau travail.
Jane éclata de rire.
_ De retour parmi nous, Edward, poursuivit Alec. Bienvenue. Tu m’as l’air de meilleure humeur.
_ Ne te fie pas aux apparences, répliqua sèchement Edward.
Il a du lire quelque chose qui ne lui a pas plut.
_ C’est donc ça, la cause de tous ces soucis ? Dit-il en fixant Bella.
_ Va comprendre ! Intervint Félix.
Puis une vision survint, Edward tuant Félix, mais ce n’était pas ici, ni maintenant.
_ Patience ! Soufflais-je en lui effleurant le coude. Je lui montrais la vision que je venais d’avoir. Il parut se détendre, sachant qu’un jour, il pourrait prendre sa revanche.
_ Aro sera ravi de te revoir, annonça Alec.
_ Ne le faisons pas attendre, suggéra Jane.
Nous les suivîmes dans un autre hall. Nous passâmes par une petite porte en bois et nous atterrissions dans une salle en pierre sombre.
Si mous n’étions pas la pour rester en vie, j’aurais pu apprécier les meubles en bois, les tenues vestimentaires des deux femmes qui discutaient, ainsi que les autres vampires habillés avec une chemise et un pantalon simple, il y aurait du boulot pour les rendre présentables.
Aro, fut le premier à prendre la parole, je le reconnus grâce à la peinture que Carlisle avait à la maison.
_ Jane, ma chère, tu es revenu ! s’écria-t-il ravi.
Il s’approcha e nous, suivit de ses gardes du corps. Il ne pouvait pas faire un geste sans qu’ils le suivent, un peu comme des aimants et Aro est leur pôle.
Il prit le visage de Jane et l’embrassa légèrement sur les lèvres. Une vision me parvint, de temps à autres il ferait plus que de l’embrasser sur la bouche.
_ Oui, maître, dit-elle en souriant. Je l’ai ramené vivant, comme vous le souhaitiez.
_ Ah, Jane, tu es d’un tel réconfort pour moi ! S’extasia-t-il.
Il nous regarda et son sourire s’élargit.
_ Et voici Alice ! Et Bella ! Se réjouit-il. Quelle merveilleuse surprise ! Merveilleuse !
Comment connaissait-il nos prénoms ?
_ Félix, lança-t-il, sois gentil et annonce à mes frères que nous avons de la compagnie. Je suis sur qu’ils ne voudraient manquer cela pour rien au monde.
_ Entendu maître, puis il disparu.
Aro se tourna vers Edward, le fixa puis lui dit :
_ Tu vois, Edward, que t’avais je dis ? N’es tu pas heureux que je ne t’aie pas accordé ce que tu me demandais hier ?
_ Je le suis Aro, en effet, répondit-il.
_ J’adore quand ça se termine bien, soupira Aro. C’est tellement rare. Mais j’exige de connaître comment c’est arrivé. Alice ? Ton frère semble te considérer comme infaillible. Pourtant il y a eu erreur.
_ Oh, je suis loin d’être infaillible, ripostais-je avec un grand sourire. Comme vous le constatez, je provoque autant de problèmes que j’en résous.
_ Tu es trop modeste, me réprimanda Aro. J’ai assisté à des exploits autrement surprenants et j’avoue que je n’ai jamais rien observé d’aussi remarquable que ton talent. Formidable !
Je regardai Edward « comment sait-il que j’ai des visions ? »
_ Je suis navré, dit Aro. Nous n’avons pas été présentés dans les formes n’est ce pas ? C’est juste que j’aie l’impression de te connaitre déjà. Or, j’ai tendance à aller trop vite. Ton frère nous a fait nous rencontrer hier, d’une manière très particulière. C’est que figure toi, je partage un peu du don d’Edward bien que mon pouvoir soit limité ce qui n’est pas son cas.
Il secoua la tête envieux.
_ Limité et néanmoins beaucoup plus puissant, corrigea Edward. Il se tourna vers moi et dit :
Aro a besoin d’un contact physique pour lire dans les pensées d’autrui, mais il entend bien plus de choses que moi. Tu sais que je ne distingue que ce qui passe dans le cerveau de quelqu’un à un moment donné. Aro, lui capte tout ce qui a meublé l’esprit d’une personne.
« Il a vu toute ta vie, toute tes pensées. »
Il hocha la tête pour dire oui. Maintenant les Volturi savaient tous nos secrets. Ceci ne va pas plaire à Carlisle.
_ Cependant, être capable de lire à distance… soupira-t-il en nous désignant. Ce serait tellement pratique.