Une Vie Mouvementée

On dit que la vie est un long fleuve tranquille.
Qu’elle vaut la peine d’être vécu !
Mais si vous connaissez mon histoire.
Ma vie est loin d’être belle.

Depuis mon enfance j’ai vécu la séparation de mes parents !
Je suis née à Forks une petite ville de Washington.
Mes parents, une vraie calamité, ma mère aillant arrêter de travailler pour me garder est devenue femme au foyer. Mon père c’est le chérif du compté, je ne le voyais pas souvent mais dès qu’il était à la maison j’étais sans cesse avec lui. Alors que je n’avais que 4 ans ma mère pète d’un seul coup les plombs et décide de partir de cette ville car elle aime avoir du soleil tout le temps. Ce n’était pas gagné avec cette ville, le temps était souvent à l’orage, chose qui ne me gênait gère car j’aimai la pluie. Mon père était comme moi il ne voulait pas quitter sa ville ou il a grandit et ou il est devenu si important. Son rôle de protecteur de la ville lui plaisait beaucoup, c’était une grande responsabilité auquel il ne se résoudrait à quitter pour un simple caprice de sa femme en raison de la mauvaise météo. Ma mère n’y tenant plus chaque soir elle lui baratinait les oreilles comme quoi elle ne resterait plus une minute de plus dans cette ville. Et un soir elle m’emmena loin de mon père, loin de ma ville, loin de mes amies. Elle avait pensé à elle, mais à moi elle ne m’avait rien demandé ! J’aurai aimé rester avec mon père quitte à avoir une nounou lorsqu’il était au travail, mais ma mère en avait décidé autrement. Je ne reverrai plus ma meilleure amie du parc, Émilie, on se voyait presque tous les jours et là j’étais partie sans lui dire au revoir, sans la voir une dernière fois. J’espérai qu’un jour je reviendrai à Forks et je le retrouverai en espérant qu’elle ne m’avait pas oublié.

Ma mère et moi sommes à Phœnix dans L’Arizona, cela fait maintenant plus de 12 ans que l’on vit ici dans une superbe villa. Ma mère Renée aillant rencontré son mari Phil qui est pour moi un beau-père mais je ne l’aime pas du tout. Durant toutes ses années je lui avais fais savoir de toutes les couleurs avec tous les caprices possibles qu’une petite fille peu faire à un remplaçant de père. J’avais gardé le contact avec Charlie, mon vrai père, j’avais cassé les pieds a ma mère pour qu’elle me donne son numéro de téléphone. Chose que j’ai réussi puisque quand je me sens seule le soir je l’appelle. Je n’ai pas beaucoup d’amie ici, la seule que je considère ma seule amie c’est Alice une jeune fille très simple, très gentille et compréhensive lorsque je me sens triste. Mais c’est la seule à qui je parle. Elle n’est en ville que depuis deux ans. Elle a une passion pour le shopping que je ne partage pas particulièrement mais quand elle m’entraîne dans les boutiques je ne vois pas le temps passé en sa compagnie. Et je commence même a aimé ça ! Qui aurait pu croire que moi, qui ne suit pas du tout la mode, aimerai faire les boutiques ? Mon père riait quand je lui racontais mes journées au téléphone. Renée et Phil ronchonnaient souvent même parce que je parlai plus à mon père qu’à eux. Mais je m’en moquais j’étais heureuse de parler à mon père même si je ne voyais pas. Cependant Renée était contente que j’ai réussi à garder une amie telle que Alice aussi longtemps. Elle a un grand frère qui est deux fois plus musclé qu’un gorille. Je m’amuse à l’appeler « nounours » et lui m’appelle « ptite mouche » je ne sais pas pourquoi il m’a donné ce surnom mais j’imagine qu’à ses yeux j’en ai l’air d’une.
Je viens juste de remarquer une chose, je ne vous ai pas dit comment je m’appelle. Je suis Bella Swan, j’ai 16 ans et je vais fêter mes 17 ans dans 2 mois, le 12 juin. Nous sommes le 12 Avril, et je sens que quelque chose va bouleverser ma vie. Je serrai en vacances et je vais passer comme tous mes anniversaires à le fêter avec mon père, Charlie, à Forks.

Je me réveille bien avant mon réveil ce qui n’est pas dans mes habitudes, moi qui aime rester le plus longtemps possible au lit a rêvassé de ce que je viens de rêver. Mais là je me suis lever plus tôt parce qu’on est samedi et que Alice doit venir me prendre vers 10 heures pour une journée de folie. Au programme ont va aller faire le marché sur la grande place de la ville s’appelant « San Carlos » ensuite on ira au restaurant « Castles » et pour l’après-midi ont va faire les boutiques afin de choisir des vêtements pour cet été.
Je me lève avec un gros sourire aux lèvres, je me dirige sans mal vers l’armoire et un jean bleu clair avec un motif de fleur dessus et un pull bleu également mais dont il n’y a rien dessus. Je me dirige vers la salle de bain adjacente a ma chambre, en passant devant le miroir j’ai pu voir ma mine réjouie par cette journée ensoleillée qui s’annonce plus que belle. Je prends une douche rapide, je m’habille et descends dans la cuisine. En passant devant la porte du salon je regarde l’horloge qui signale qu’il est à peine 9 heure du matin. J’ai le temps de prendre mon petit déjeuner. Dans la cuisine je retrouve Renée toute seule car Phil est déjà partie pour un de ses entraînements de Base-ball dont il est entraîneur dans un des deux Lycées que possède Phœnix.

- Bonjour M’man

Renée lève le nez de son bol de café et me sourie, elle ne s’étonne pas du tout de me voir ravie de passée une journée loin de la maison et de me voir autant tôt alors que d’habitude je me lève vers 11 heures tant la semaine au lycée était éprouvante.

- Bonjour ma chérie, alors prête à passé la journée avec Alice ?

Tout en parlant, elle se leva de sa chaise et se dirigea vers le frigo ou elle prit le carton de jus d’orange ainsi qu’un verre dans placard a coté du frigo et le rempli. Elle le posa dans sur la table en face de moi alors que je venais tout juste de m’asseoir à la table.

- Oui on a tout un programme à faire de prévu !

Dis-je tout en avalant une gorgée de jus d’orange. Je me levais prit un bol et des céréales et les avala dans un bruit qu’on aurait dit que du boit craquait dans la cheminer avant de prendre feu. Un coup d’œil sur l’horloge du mur au-dessus de l’évier me fit comprendre que l’heure ou Alice allait me prendre n’allait pas tarder. Je fis une bise sur la joue de ma mère et remonta dans ma chambre afin de prendre mon sac et de vérifier que je n’avais rien oublié. Une fois il m’était arriver d’oublier mon porte-monnaie j’étais très gêner quand je l’ai remarqué une fois en caisse pour payer mes vêtements, j’avais demandé à ma meilleure amie à faire demi-tour mais elle a insisté de me payer les vêtements qu’elle m’avait choisi en me disant que cela lui faisait plaisir mais je m’étais promis de lui rembourser ce qu’elle m’avait payer et c’est ce que je voulais faire aujourd’hui. Dehors un bruit de voiture arrivant à toute vitesse et puis freina d’un seul coup. Je savais que c’était elle, bien avant qu’elle ne klaxonne pour dire qu’elle était là ! Je dévala les escaliers mon sac son mon épaule, non sans m’embrocher sur une marche dont je du ralentir ma descente en me tenant fermement à la rambarde pour ne pas finir en bas sur les fesses. Je repris ma marche en descendant plus lentement cette fois-ci. Dé fois ou mes pieds auraient envie de danser la java ! J’enfile une petite veste.

- J’y vais M’man
- D’accord amuses-toi bien.
- Ok !

Puis, je sors, dès que j’ai ouvert la porte le soleil vient m’aveugler de ses doux et chaud rayons. Je n’y vois rien pendant une minute puis mes yeux s’habituent et je peux avancer sans craindre de me prendre l’arbre qui se trouve dans le jardin avant d’atteindre la voiture d’Alice. Une belle décapotable noire dont je ne me rappelle plus le nom exact.

- Salut Alice !
- Salut Bella prête pour une journée d’enfer ? dis-t-elle avent un grand sourire
- Comme si j’avais le choix ! Dis-je en rigolant.

Nous rigolâmes en cœur, je m’installe puis elle démarre comme à son habitude en trombe. J’ai juste le temps de mettre ma ceinture qu’elle est déjà en train de me dire ce qu’elle a vu dans une boutique la veille.

- Bella, si tu voyais cette robe rouge avec des dentelles sur la jupe et un corsage trop beau, je suis sure qu’elle t’ira à merveille. Il faudra à tout prix qu’on aille chez « Smile’s » en premier ! Je ne voudrais pas qu’une autre profite de cette robe avant toi !

Et voilà qu’à peine ai-je mis les pieds dans sa voiture que la pile électrique qui se trouve à coter de moi se met en marche sans s’arrêter ! Je suis sûre qu’elle doit être charger 24/24 heures ! Je vérifie au cas ou si il y aurait pas un fil entre l’allume cigare et Alice mais il n’y a absolument rien ! Je pouffe de rire a mon idée de vérifier parce qu’a ce moment je me trouvais totalement bête. Quoi que… elle a du se charger pendant la nuit !

- Alice, on fait ce qu’on a prévu d’abord le marcher, le resto et ensuite les boutiques ! Je tiens à manger avant d’y aller parce que je te connais dès qu’on va commencer, tu ne vas plus t’arrêter. Dis-je en espérant que cela la calmera un peu.

- Oui, oui Bella t’inquiète mais après manger, on fonce chez « Smile’s » ! Dit-elle avec un énorme sourire me faisant comprendre qu’elle n’en démordra pas.

Je soupirai à la fois de joie qu’elle respecte ce qui était convenue et de douleur qu’elle allait causer à mes pauvres pieds ! On arrive au marché de la place San Carlos. On avait du mal a trouvé une place de parking tellement il y avait du monde. Une fois garée on se dirigeait vers le premier marchant flânant un peu de-ci de-là. Une foule était amasser devant un stand de parfum ! Alice elle s’était arrêter pile me faisant stopper ma marche et ainsi lui rentrer dedans. Ce qui eu de la faire avancer d’un pas. Je me demandais pourquoi donc elle s’était arrêter ainsi ? J’allais lui demander lorsqu’elle se mit à crier.

- Bella regarde !! C’est exactement ce qu’il te faudra pour aller avec cette robe !!

Son obsession pour que j’achète cette robe lui montait vraiment à la tête. Elle s’avança jusqu’au stand de bijoux bousculant quelques personnes qui se trouvaient sur son passage, prit une parure, collier/pendentifs rouges en forme de petites fleurs et se retourna vers moi toute souriante. Avant que d’autres soit victime de la tornade je m’avance à mon tour vers le stand me trouvant ainsi à ses côtés où elle brandit telle une star sa trouvaille. Je soupire en remuant la tête, cette fille va me faire devenir chèvre. Sans attendre mon accord elle l’achète m’assurant que je les porterai à merveille pour le bal. Je n’ai pas pu refuser parce que c’était peine perdue. La matinée se passer dans la même ambiance. Je m’achetais un parfum que j’adorai dont il sentait le Freesia, ma fleur préférée, Alice s’acheta un parfum dont la senteur pêche lui collai vraiment à peau aujourd’hui ! A midi on se dirigeait à pied chez « Castles ». Le restaurant se situait juste une rue plus loin et dont il n’y avait pas de parking pour se garée. On avait juste déposé nos trouvailles dans le coffre de sa voiture. On n’eut pas besoin d’ouvrir les portes qu’un serveur nous salue et nous emmène à une table. On prit toutes les deux des pattes à la bolognaise. Comme dessert une belle île flottante ! Quand on a fini, je sais où Alice aller m’emmener et mes pieds se plaignaient déjà !

Arriver dans la première boutique qui ce nome « Smile’s », Alice me prit la main et m’entraîne directement vers la robe dont elle m’avait parlé dès le début de la matinée. A croire qu’elle n’avait que cette robe en tête que je devrais porter tous les jours. Quand je vins poser mes yeux sur elle, je n’en reviens pas. Mes yeux s’ouvrirent en grands, ma bouche resta grande ouverte. Je compris tout de suite pourquoi Alice avait flasher sur cette robe. Elle est tout bonnement magnifique. Mais c’est une robe de bal et quoi qu’elle en dise, je ne pourrai jamais la porter. J’aimais danser mais pas dans un bal ! J’étais une vrai timide quand un garçon m’approchai pour danser et avec cette robe se serrai inévitable de ne pas se faire remarquer. Alice ne me laisse pas le temps de le lui dire ou de revenir de mes esprits que déjà elle prend la robe me la mis dans les bras et me pousse jusqu’à une cabine d’essayage. Je me change sous ordre d’Alice que je sens et entends qu’elle est impatiente de me voir avec cette merveille. Moi bien sur, je prends mon temps parce que je ne veux pas la déchirée, la malchance que j’avais me poursuit de partout.

- Bella on n’a pas que cette boutique à aller voir ! Dépêches-toi un peu d’enfiler cette robe !

Pendant qu’elle parle, je me regarde dans la glace de la cabine, cette robe me moule le corps, elle fait ressortir ma poitrine à peine voyante. Je me retourne et je suis très à l’aise dedans. La jupe dont elle part en doux voilages m’arrive juste en dessous des genoux. Il manque juste des chaussures qui aille avec. Je sortis de la cabine et là Alice saute sur place comme si elle est sur un trampoline ou un ressort. Elle devait être quelque chose comme ça dans une vie antérieure j’en étais sûre.

- Bella !! Bella tu es magnifique, resplendissante, à coupé le souffle !

Elle n’arrête pas sauter et de taper dans ses mains, ça devient gênant vu les regards des clientes et des vendeuses présentes dans la boutique.

- Alice, calme-toi où tu vas faire un trou dans le plancher !

Le pauvre sol tremble sous ses pieds à chaque bond qu’elle fait. J’ai même cru qu’elle allait déclencher un tremblement de terre. Elle se calme enfin et je peux relâcher la pression qu’elle m’a mise depuis que j’ai croisé les regards des personnes présentes dans cette boutique. Mon dieu je plains son petit copain quand elle en aura un. Elle allait lui en faire voir de toutes les couleurs. En attendant s’est moi qui en prends pour mon grade.

- Mon dieu, il te faut absolument des chaussures qui te vont avec ! Tu ne vas pas aller au bal avec tes vieilles baskets.
- Non, j’allais justement te le dire quand je suis sortie de la cabine mais tu ne m’as pas laissé le temps de parler.

Rouspétais-je. C’était vrai j’allais lui dire mais telle une pille électrique dont il n’y a jamais de fin ne m’a laissé aucune chance à la parole. Aussitôt que je finis ma phrase la voilà partie avec une vendeuse à la recherche d’une paire de chaussures. Je lâche un soupir à attendre mais je m’admire encore une fois dans le miroir. Le bal des finissants était dans une semaine, bien que toutes les deux on ne l’est pas encore on avait choisi de s’incruster afin de profiter de l’ambiance. Son frère Emmett lui était dans le bal des finissants. Ainsi il pourrait nous ramener au cas où on soit trop pompette pour conduire. J’aime beaucoup son frère il ressemble à un ours qui ai besoin d’un gros câlin, c’est d’ailleurs comme ça que je l’appelle « nounours » ça nous fait rire mais il l’aime bien et pour se venger il m’appelle sa « ptite mouche ». Il nous rejoindra en fin d’après midi avec un ami qu’il veut nous présenter. Alice revient vite avec une paire de ballerine rouge qui s’attache telle que des chaussures de danse classique. Je me décide à acheter cette robe ainsi que les chaussures. Je suis vraiment ravie qu’Alice m’a emmené dans cette boutique car elle a raison cette robe est faite pour moi… Elle a déjà choisi sa robe une semaine en avance dans cette même boutique. A croire qu’elle est spécialement faite pour faire notre bonheur.

L’après-midi se passa très bien, on va de boutiques en boutiques trouvant des robes pour l’été, des maillots pour la plage, des tas de vêtements quoi ! A la sortie du dernier magasin de lingeries on fut rejoint par Emmett tout souriant accompagner d’un garçon que je trouve craquant et dont il a un doux regard à faire tomber les filles après son passage.

¤ Chapitre 2 ¤ Un nouvel ami !

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Son regard doit réellement faire tomber les filles dans les pommes car son visage si bien dessiner que je dirai qu’il ressemble à une statue qui soudain a prit vie sous mes yeux. Je ne peux m’empêcher de rougir face à cette apparition, à croire que les anges existent vraiment et que j’en ais la preuve sous mes yeux.
Emmett fidèle à lui-même sans prévenir me prit dans ses bras et par la même occasion de souleva de terre.

- Coucou ptite mouche ! Fit-il de sa voie, enjoué heureux de me voir.

Car je suis sûre il semble tout le temps heureux de me voir avec Alice. Il ne supporte pas me voir en compagnie d’un garçon. Chose qui n’arrive plus depuis ce qui s’était passé, il y a bientôt 7 mois.

- Nounours poses-moi, j’étouffe ! Fis-je semblant d’avoir une voie étouffer.

Il me lâcha et éclata de rire, et je le suis. Moi je riais par rapport aux surnoms qu’on se donnait, ça me fait toujours rire. D’un ton sérieux, qu’il est difficile à avoir avec lui dans les parages, Emmett nous présente le bel inconnu qu’est le mystérieux garçon à mes yeux.

- Bella, Alice, je vous présente Edward Masen, il vient d’emménager pas loin de chez moi !

J’ai oublié, qu’Emmett ne vit plus chez ses parents qui sont vraiment adorables. Esmée une femme brune, comme sa fille Alice, est décoratrice d’appartement chez « Doddy’s » une entreprise très réputée à Phœnix. Carlisle d’un blond décoloré est médecin à l’hôpital « St. Mary's ». Alice vit toujours avec eux et j’adore leur rendre visite. Emmett habite dans un appartement qui est non loin du Lycée ou il finit son année et donc il va à la fac l’année prochaine. Ça m’attriste qu’il ne soit bientôt plus avec nous mais Alice et moi avons justes un an d’écarts avec Emmett.

Je souris en guise de bonsoir à Edward, ma timidité ait d’un coup prit le dessus en moi. Je ne sais pas pourquoi, mais il me fait sentir un tel échauffement au cœur que je n’arrive pas à déchiffré ce qui se passe vraiment. Edward me rende mon sourire en milles fois mieux ce qui a pour effet de me faire rougir. Et je vois qu’il est autant gêner que moi, ce qui me rassure un peu.

POV Edward

Cela fait tout juste deux jours que j’ai emménagé dans un petit appartement que je m’étais acheté avec mes sous de mon travail que je faisais à Forks. J’avais trouvé cet appartement pas très loin du Lycée et je suis heureux car je me serrai sans doute perdu dans cette grande ville. A peine j’ai posé mes affairent que le camion qui emporte mon piano et quelques meubles était arriver. C’est alors que j’avais vu un grand costaux sortir non loin de là et curieux il s’était avancer vers moi. On avait sympathisé tout de suite, il s’était présenter à moi comme étant le chef de son équipe de Baseball un truc de dingue que j’arrivai facilement à croire vu sa stature. Nous étions jeudi, j’arrivai en cours de semaine parce que mon Lycée de Forks m’avait laissé cette semaine pour m’organiser pour le voyage. J’aurai aimé rester dans cette petite ville bien paisible mais ma passion pour le piano m’a forcé à venir dans cette grande ville. Ce grand gaillard, Emmett, m’avait proposer de me faire visiter une partie de la ville samedi et que le soir si cela ne me dérangeait pas on irait rejoindre sa sœur avec son amie. J’avais dit que tout bonnement que ça ne me dérangeai pas du tout.

Ça y est on est samedi, je suis installé et Emmett est venu me chercher avec son gros 4x4 qui porte de nom de Jeep. A croire qu’il aime se faire remarquer avec sa grosse voiture. Il m’a montré où se trouve le Lycée, les endroits ou il adore aller (bar, boite de nuit, le terrain de sport). Lorsque la fin de l’après-midi arrive, on se dirige à pieds vers une rue qui est bondé de boutiques féminines. Un coup d’œil vers Emmett et je me mis à rire, il aborde un énorme sourire et il a marmonné « je vais voir ma ptite mouche » j’ignore qui est cette personne pour qu’il la surnomme ainsi à moins qu’il voie vraiment une mouche passer devant nous ? Son sourire c’est agrandit lorsque l’on voit deux filles sortir d’une boutique de sous-vêtements.
Elles sont toutes les deux jolies, la première est brune avec des cheveux en pétard, cours et l’autre châtain mi-long, légèrement ondulés. J’eus comme une révélation, d’un coup mon cœur s’est emballer sans que je ne comprenne vraiment. Je deviens parano de croire qu’elle était libre. Une aussi jolie fille ne doit pas l’être ou alors elle est peut-être la petite amie d’Emmett ! Calme-toi Edward tu ne vas pas t’emballer dès le premier regard ! Aussitôt Emmett fonce droit vers la fille aux doux cheveux châtains et la prit dans ses bras en la traitant de « ptite mouche ». Ce qui eut de confirmer ce que je pense, ils sont ensemble. Il me présente aux filles en me montrant chacune des deux lorsqu’il les nomme. La dénommée Bella me fit un sourire, Oh mon dieu et quel sourire, Je le lui rends et la voit rougir ce qui lui allait bien, ce rouge sur ces joues fait ressortir ses yeux d’un chocolat intense. Je ne la quitte pas des yeux jusqu’à ce que Alice proposition d’aller dans un café.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Alice

Bella est radieuse aujourd’hui, je ne l’ais pas vu comme ça depuis que Nicky l’ai fait souffrir. Je sais que c’est douloureux pour elle. Je m’empresse de la distraire au maximum. Je suis très excité par cette journée de shopping comme d’habitude je ne peux plus m’arrêter d’acheté des vêtements malgré que ma penderie déborde de toutes sortes de robes, jupes, pantalons et tricots. Je suis vraiment aux anges quand je l’ai vu dans cette robe rouge, j’étais vraiment sûre qu’elle lui irait à merveille la veille quand je l’avais vu dans la vitrine et je ne me suis gère tromper. Je sautille de joie. On a vraiment passé une journée très belle. On sortait de la boutique de sous-vêtements en riant quand Emmett et un super garçon aux cheveux cuivrés arriva vers nous. Ce qui me fais le plus plaisir c’est que le garçon ne quitte pas Bella des yeux, je mets ma main a coupé qu’il en pince pour elle. Emmett comme à son habitude s’est précipité et prit Bella dans ses bras pour lui dire bonsoir. Il ne changera jamais celui-là et Bella avait trouvé un surnom qui le qualifiait bien.

-Salut !

Lançais-je alors vers le garçon avec un sourire. Mais apparemment il ne m’a pas entendu puisqu’il a l’air dans ses pensés et ne quitte pas Emmett et Bella des yeux. Oh ! Oh ! Pensait-il qu’ils soient ensemble ? Enfin bref, je verrai ça plus tard. Mon frère nous présente le garçon et je vois Bella lui sourire et rougir. Pardon ! J’ai bien vu ? Bella a rougit ? Ça va être prometteur ! Comme on a décidé Bella et moi d’aller nous rafraîchir le gosier je le propose aux garçons qui accepte de nous accompagner ! N’y tenant plus je me mis à questionner le nouveau venu.

- Dis-nous Edward d’où tu viens ? Pourquoi avoir choisi Phœnix ? Comment as-tu rencontré Emmett ? Quelle passion as-tu ?



Nous étions tous les quatre assis au « Pup’s », le café que j’ai montré tantôt à Edward. On prend de quoi boire et à peine la serveuse a prit notre commande que j’entends ma sœur questionner ce pauvre Edward mais ça m’amuse de la voir comme ça. Bien qu’elle le soit tout le temps. Lui, il n’en a pas l’habitude. Je lance un coup d’œil amuser à Bella et on ne peut retenir un fou rire. Alice ne changera jamais, plus curieuse qu’elle, je ne crois pas que ça existe. La mine qu’affiche Edward fait redoubler mon fou rire ce qui ne l’arrange pas malheureusement. Alice a mal pris notre soudaine hilarité.

- Ben quoi ?!? Je peux bien m’informer sur les amis de mon frère !

Mais Bella est plus rapide que moi et lui répond entre deux rires avant qu’on se calme.

- On ne te reproche rien mais laisses-le au moins répondre à une question avant d’en enchaîner une autre !

Et je ne peux que confirmer d’un hochement de tête plaquant une main sur ma bouche afin de m’empêchant de rire de nouveau.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Alice toujours excitée comme une puce nous entraîne vers un café pour discuter mais aussi pour nous désaltérer. Comme je ne bouge toujours pas, elle prit la décision de m’embrocher le bras et de me tirer pour que je la suive ! Contrainte, je la suis essayant de faire revenir le peu de lucidité à mon cerveau qui a besoin d’un bon coup de massue pour qu’il redémarre comme il faut. Alice ne peut pas s’empêcher de questionner le nouvel ami d’Emmett dès que la commande est prise.

- Dis-nous Edward d’où tu viens ? Pourquoi avoir choisi Phœnix ? Comment as-tu rencontré Emmett ? Quelle passion as-tu ?

Emmett et moi-même nous nous sommes regarder avant d’éclater de rire face à la mine déconfite qu’affiche ce pauvre Edward. Il s’est peut-être cru au commissariat de police qui le questionne avant de l’enfermé en prison. Alice nous lance un regard comme si elle est choquée de notre réaction.

- Ben quoi ?!? Je peu bien m’informer sur les amis de mon frère !

Je lui réponds entre deux crises de rire.

- On ne te reproche rien mais laisses-le au moins répondre à une question avant d’en enchaîner une autre !

Emmett hocha la tête en confirmation de ce que je viens de dire une main sur sa bouche. Je suis sûre qu’il se retient de rire à nouveau. Néanmoins Edward lui répondit comme il le peut.

- Je viens de Forks, pour un mois de stage dans le « Symphony Hall ». J’ai rencontré Emmett lors de mon emménagement. Je n’ai qu’une passion c’est le piano. D’où ma raison d’être ici.

C’est avec joie que j’apprends qu’il vient de Forks, ma ville natale. Peut-être connaissait-il mon père puisqu’il est le chérif dans cette petite ville. Mon père je vais bientôt le voir dans deux mois. J’ai hâte de le revoir. On va de nouveau au restaurant chez « Castles » mais cette fois-ci en compagnie des garçons. Comme à midi nous n’avons pas eu besoin de toucher la porte qu’elle s’ouvre déjà, à croire qu’ils ont engagé un groom ! Je pris des raviolis aux champignons, Emmett lui prit un plat de Fajitas*, Edward lui prit un Saltimbocca** et Alice prit une salade Popeye au saumon fumé***. Et comme dessert nous prenons tous des Brownies chocolat avec crème anglaise. A la sortie du restaurent chacun rentre chez soit et on se donne rendez-vous au parc le lendemain pour faire une visite de la ville pour Edward. Gênée, il a tout bonnement refusé mais comme Alice tout comme Emmett ont insisté, il n’a pas pu refuser. Il s’est alors tourné vers moi.

- Est-ce que tu serras là demain ? Il avait demandé ça comme s’il ne veut pas que je reste seule dans mon coin.

C’est Emmett qui répond à ma place.

- Bien sur qu’elle serras là ma ptite mouche ! Elle ne peut pas laisser son gros nounours tout seul un instant ! Dit-il victorieux de sa réplique.

Je l’ais ignoré et je crois que Edward aussi puisqu’il attend que je parle.

- Je serrai ravie de te faire voir mes endroits préférés.

Heureux de ma réponse il sourit tout en ouvrant la portière du côté passager de la voiture d’Alice qu’on a rejoint. Je m’installe à l’intérieur et il laisse échapper.

- A demain alors.

Dans un sourire que si je n’étais pas assise, je serrai certainement tomber par terre tellement ce sourire était éblouissant. Alice me raccompagna chez moi ou elle fixa le rendez-vous à la même heure que ce matin à savoir à 10 heures. C’est le cœur léger que je quitte la voiture avec tous mes sacs de vêtements acheter le jour même. En rentrant à la maison je découvre ma mère en pleur dans le salon. Qu’est-ce qui s’est passer ? Pourquoi pleure-t-elle ?

- Maman ?!? Qu’est-ce qui se passe ?




Ces plats existent vraiment, ils viennent d’un restaurent parisien « PDG Rive Gauche »
J’ai cherché des restaurants sur Internet et je suis tomber sur lui.

* Fajitas : Blanc de poulet à la Mexicaine, salsa, guacamole
** Saltimbocca : blanc de poulet, mozzarella, sauce tomate et pomme de terre
*** Popeye au saumon fumé : Épinard crus, œuf mollet, citron, vinaigrette

Pourquoi est-ce qu’à chaque fois que je suis heureuse le sort s’acharne autour de moi ? Qu’est-ce qu’il était arriver à ma mère pour qu’elle soit dans un tel état ? Laissant mes sacs tomber à terre je me précipite à ses côtés sur le canapé. Elle renifle quelques instants avant de me donner la raison à ses larmes.

- Bella ?!? Fit-elle en relevant la tête dans ma direction avant de continuer. C’est rien. Phil il a reçu une balle en pleine tête et il a un gros bleu. Mais tu me connais, je m’inquiète pour rien.

Je soupire de soulagement. J’ai peur qu’il soit arriver quelque chose a Phil. Bien que je ne l’aime pas du tout parce qu’il croit qu’il peut remplacer Charlie dans mon cœur et c’est pour ça que je le fuis préférant sortir ou m’enfermer dans ma chambre le soir. Ma mère alla se coucher dès qu’elle est en état de marcher. Ce qu’elle peut être sensible quand il s’agit de lui ! Je suis sûre qu’elle n’aurai pas réagit de la même façon face à MON père. Elle me dégoûte quelques fois. Mais bon, il n’est rien arriver à son mari et ainsi je ne m’inquiète pas demain en la quittant pour une deuxième journée de balade qui j’espère serra moins endiablée que celle dont j’avais passé aujourd’hui en compagnie de ma chère survoltée d’amie qu’est Alice. Elle doit être au lit à l’heure qu’il est et certainement brancher sur son chargeur de nuit. A cette pensée je me suis mise à rire tout en reprenant mes sacs et en montant les escaliers, dans le couloir je peux voir la lumière qui émanait de la chambre de ma mère, cette pensée me fit tiré la langue avec dégoût rien au mot « parents ». Je me languie d’être à cet été pour pouvoir passé deux longs et merveilleux mois avec Charlie, Patricia et son fils qui avait le même âge que moi. Même si Charlie a refait sa vie, lui au moins il ne me traite pas comme un bébé, comme un certain Phil. Rentré dans ma chambre j’allumai ma chaîne hifi branchée sur la station de la radio, mettant le volume au plus bas bien sur, et me mis à ranger les trouvailles dans ma penderie la remplissant sans mal car elle était presque vide. J’admirai la robe rouge qu’Alice m’avait supplié avec ses yeux de cocker sur-excité pour que je la prenne et j’avais cédé. Il fallait bien que j’en trouve une robe de toute façon pour le bal d’Emmett. Au moins je serrai une Jolie ptite mouche à ses yeux.

Il est presque une heure du matin que je touche enfin le lit, j’ai revêtu un pyjama bleu clair, presque blanc. Dès que je ferme les yeux, un visage s’impose à moi, celui du beau Edward. Ses yeux d’un bleu-vert intense, si doux et si enivrant, son visage si parfait, ses lèvres que je devine être pulpeuses et douces, ses cheveux d’un brun cuivré si magnifique. Je ne peux retenir un sourire à ses effigies que je fais et sans le vouloir mon cœur se mis à accéléré d’un coup. Lorsque j’ouvre les yeux, j’essaye de le calmer. Pendant une bonne dizaine de minutes je reste éveillée à me demander ce qui m’arrive, car je n’ai jamais ressentit de pareilles émotions, même avec Nicky. Celui-là, il avait réussi à me déchirer le cœur de la pire des manières qui soit. Mais je ne préfère pas y penser car c’est douloureux pour moi-même si cela fait presque 7 mois maintenant je ne m’en suis toujours pas remise. Décidée à tourné la page je m’efforce à sourire et à retrouver ma bonne humeur avec Alice et puis Nounours est là pour me faire rire. Je m’endors de nouveau et cette fois-ci pour de bon. Je fais un beau rêve en compagnie d’Edward quand le réveil se met à sonner telle une furie. En grognant, je me lève en traînant des pieds. Mon rêve était tellement beau que je ne veux plus me lever.

Je me dirige toujours en maugréant contre ce maudit réveil vers la salle de bain pour prendre une douche et m’habille puis descends dans la cuisine. Là je peux voir le fabuleux toquard qu’a Phil, un beau rond violacé marquait son œil droit qui avait gonflé. Ça doit être gênant et ma mère a coup sur va le bichonner pendant toute la journée. Je déteste lorsqu’elle agit de la sorte avec lui. J’aimerai tellement qu’elle aurai pu être comme ça avec Charlie. Mais non. Soit Piouff, heureusement que je sors aujourd’hui comme ça je n’ai pas l’horreur de les voir ensemble. Sans un mot ni à ma mère, ni à Phil je prends mon petit déjeuner tranquillement évitant de les regarder. Quand j’ai fini de laver mon bol je lâche juste !

- Je sors aujourd’hui, je vais rejoindre Alice et Emmett. Ne m’attendez pas pour manger, ni ce midi, ni ce soir.

Je sais que le lendemain j’ai cours mais je ne veux pas dîner en compagnie du borgne. Et de la pleurnicharde de mère. Je peux être très méchante envers eux mais apparemment ils s’en fouettent aussi, ils vivent dans leur petit cocon lorsque je suis énervé comme ça. Je pars comme je suis arriver avec un soulagement de ne plus les voir de la journée. J’allais enfin être libre dans mes mouvements !

Je remonte dans ma chambre et mis la musique « It’s my life » de Bon Jovi sur ma chaîne hifi tout en me coiffant et en faisant une queue haute laissant mes cheveux ballants dont les pointes me chatouillent le coup. Dans la rue j’entends un gros vrombissement signe que c’était mon gros nounours qui arrive avec son énorme 4x4. Tiens, je pensais que c’était Alice qui viendrai me chercher ! Tant pis, je vais devoir m’y faire a le faire enrager. Si j’y arrive… je pris ma ptite veste pour le soir et mon sac et je pars. Dehors je vois Emmett appuyé contre sa voiture grise tout souriant.

- Que vois-je ? Une ptite mouche aillant vêtue ses belles lunettes de soleil ? Je ne pensais pas qu’un jour tu en aurais besoin…

Dit-il avec un énorme sourire en faisant semblant d’être étonné de voir mes lunettes noires sur le nez.

- T’as pas fini !! Et puis pourquoi c’est toi qui viens me chercher ? Je pensais que tu hivernai jusqu’à midi !

Ais-je répliqué contente de ma réponse. J’ai réussi à lui en bouché un coin. Ben quoi c’est vrai Emmett est du genre à faire la grasse matinée et ne pas se lever avant au moins l’heure de manger. Il était vraiment comme un ours se réveillant juste au moment des repas. C’est pour ça que je lui donne ce surnom. Le rire d’Alice résonna dans la voiture. Mon dieu elle est là et à en jugée par la personne a coté d’elle, Edward est également présent. D’un coup je sens mon sang monter à mon visage et me teinter les joues. D’un gros sourire satisfait Emmett se pousse et retourne dans sa grosse voiture au volant tandis que je m’installe du côté passager à ses coter. Je suis sûre qu’il avait fait exprès que je sois à côté de lui pour m’embêter.

- Salut Bella ! Comme tu peux le voir notre gros nounours s’est levé tôt grâce à moi !

Dit-elle avec un gros sourire, décidément les sourires dès le matin c’est de famille. Avant de recevoir un coup à l’épaule de la par de son frère qui s’était retourné vers elle.

- Hey c’est pas ma faute si j’ai le sommeil profond ! Se défendit-il.
- Mais oui mon gros nounours on te croit sur parole ! Dis-je avec un clin d’œil en me tournant vers Alice. Bonjour Edward.

Le pauvre il est paumer de nous voir aussi joyeux alors qu’on lui a pas adressé la parole une seule fois et qu’il n’a rien dit non plus. Mais en regardant dans le miroir du cache soleil je vois qu’il me regarde et sourit.

- Bonjour Bella.

Sa voie de ténor sonna si douce à mes oreilles que je veux ne jamais cesser de l’entendre. Je lui rends son sourire puis ensuite je me tourne vers Emmett.

- Alors nounours on commence par quoi ?

Il fit mine de réfléchit un truc que je crois totalement impossible venant de lui. Son cerveau doit être vraiment ramolli pour qu’il réfléchisse autant avant de répondre. C’est Alice qui s’empresse de répondre.

- Avant que mon frère arrive à sortir un mot, je propose qu’on te fasse voir tous les points important de la ville tel que le Lycée, les bars, les supermarchés, les coins sympa quoi !

Emmett se mit à grogner face à Alice tous en roulant.

- Je lui ai déjà montré le Lycée, hein moustique !

Alice et moi on pouffe de rire face au surnom qu’Emmett a donné à Edward. Il est donc un moustique à ses yeux ! Moi la ptite mouche, lui le moustique. Emmett aimait décidément trop les insectes. J’aurai du l’appeler le fourmilier si j’avais su !

- Ouais, il m’a déjà montré le Lycée, son bar préféré, la boite de nuit le « pik’up » je crois et le terrain de sport ou il joue.

Toujours pas remise de mon fou rire, je me tourne vers le dénommer moustique.

- On va te faire voir le parc, le port, quelques boutiques. Je regardais Emmett. Ça m’étonnes que tu ne lui aies pas fait voir l’épicerie du coin où la propriétaire n’arrête pas de te dragué.

L’intéressé haussa les épaules.

- J’ai pas envie que le moustique me vole la vedette !

Alice tape des mains pour nous signaler qu’on est arriver devant le grand parc. Elle cri de joie lorsqu’elle a vu des oiseaux se pencher sur une fontaine pour boire un peu. On peut la voir grâce à la hauteur de la Jeep. Un gros 4x4 mais c’était pratique quelque fois pour voir en hauteur. Emmett se gara et on sort tous de la Jeep grise. Alice prit Emmett par le bras afin qu’il avance plus vite, monsieur est grognon il aime pas venir au parc parce qu’il dit que c’est du temps perdu de se balader sans but précis. Edward et moi on se retrouve côte à côte à les suivre. Cela fait quelques minutes qu’on est dans le parc, Alice et Emmett s’étaient diriger vers un banc afin qu’Alice puisse prendre des photos des oiseaux tranquillement. Je continue ma marche en compagnie du ravissant Edward.

- Je suis désolée qu’Emmett t’a donné ce surnom ridicule. Moi il m’appelle sa ptite mouche parce que j’arrête pas de faire du bruit en marchant. Comme les ailes des mouches !

Lui dis-je confuse que mon gros nounours l’appelle comme ça, Edward n’a pas du tout l’air d’un moustique loin de là. Je l’aurai plus appeler « bel ange ». Mais bon de la par d’Emmett plus rien m’étonne. Soudain on entend le cri d’Alice qui court derrière Emmett. Celui-ci lu avait prit l’appareil photo et ne veut pas lui rendre. On se retourne pour les voir.

- C’est pas grave, je me fous de comment ton petit ami m’appelle.

Lâche-t-il. J’allais rire devant cette scène mais les paroles d’Edward me fait tourner la tête vers lui. Je le regarde choquer. Qu’est-ce qu’il a dit ? Edward croit que Emmett est mon petit ami ? Ma surprise se transforme en rire. Son regard à lui d’abord gêner se teint en surprise sur son visage de me voir rire.

- Non ! Emmett est tout sauf mon petit ami. C’est le grand frère d’Alice et je le considère comme mon frère. Lui je suis sure qu’il me voit comme sa petite sœur.

Lui dis-je en retrouvant mon calme. Edward a vraiment cru que je suis avec nounours ? Je n’en reviens pas ! On ne se connaît que depuis hier et déjà il a fait cette conclusion. J’entends Edward pousser un soupir comme s’il est soulager. Mais de quoi ?

- As-tu une petite amie à Forks ?

- Tu viens souvent ici ?

Il a dit cela pour changer de conversation je suis certaine, il ne veut pas y répondre. Peut-être que la réponse est oui et qu’il ne veut pas en parler. Je n’insiste pas plus longtemps. Peut-être préfère-t-il les hommes ? On dit souvent que les plus beaux sont soit déjà prit soit homo. Je n’espère pas que ce soit son cas mais je me pose tout de même la question. Néanmoins je décide de répondre à sa question.

- Dès que j’ai du temps libre ! J’aime y venir c’est très relaxant, calme.
- Oui ça ressemble beaucoup au calme de Forks.

Confirme-t-il tout en s’essayant sur un banc. Moi je préfère m’asseoir sur l’herbe encore fraîche de la matinée et il s’empresse de me suivre se levant du banc pour s’asseoir à côté de moi. Mon cœur s’emballe à son geste. Peut-être n’est-il pas homo ! Je me sens bien en sa compagnie. Je le questionne sur sa venue dans la ville et il m’apprit que son professeur de musique lui avait recommandé de venir ici pour passer un concours de musique pour son admission à la rentrée. Je lui demande quel genre de musique il aime le plus jouer et là il me surprit en me disant qu’il aime composer et qu’il joue principalement de la musique classique. J’ai hâte de pouvoir entendre une de ses compositions. Nous avons été interrompus par l’arrivé de «gros nounours » et «miss tornade » alors qu’il me demandait qu’elles sont mes passions.

- Alors, on ne vous à pas trop manqués ptite mouche ? Nous demanda Emmett.
- Oh si je commençais a m’ennuyée de mon gros nounours adoré !

Je me relève mais comme ma maladresse était de retour, mes jambes flanchent et je me retrouve de nouveau assise sur l’herbe. Ce qui fit rire Emmett.

- Ben alors on arrive plus a gardé l’équilibre !

Je lui lance un regard noir en me relevant lorsqu’Edward me tend une main que j’attrape volontiers afin qu’il m’aide. S’est le premier contact qu’on a de la matinée et aussitôt je sens mon cœur s’emballer de nouveau. Il faut que je me calme sinon je ne tiendrai pas le coup jusqu’à la fin de la journée. Je remis mes lunettes de soleil afin que personne ne voie mon regard troublé par un simple contact.

L’après midi on emmène Edward au port. Comme à son habitude Nounours nous fit voir à quel point il était fort en soulevant une ancre de bateau encore amarré au quai ! Bien sûr, sur tous les bateaux présents dans le port, ce crétin a choisi celui ou le propriétaire est sur son bateau. Nounours a droit à une engueulade de la par de celui-ci et on détale tous en riant. On s’arrête près d’un bar pour reprendre notre souffle. On prend une bonne limonade chacun et comme Alice n’a rien dit depuis qu’on a quitté le parc, celle-ci se mit à déballer tout ce qu’elle veut qu’on fasse le lendemain après les cours. J’aurai juré que dans la Jeep d’Emmett elle s’était mise sur batterie pour tenir jusqu’à la fin de la journée.

¤ Chapitre 4 ¤ : Un dimanche émotionnel

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Il est maintenant plus de 18 heures quand on quitte le port pour une autre destination. Alice veut à tout prix nous entraîner dans la boite de nuit le « pik’up ». Elle veut faire voir à Edward l’ambiance fabuleuse qu’il y a dans cette boite de nuit qu’on a tous les trois craquer pour celle-là en particulier du à notre rencontre dans celle-ci. D’abord parce qu’elle se trouvait non loin de là où on habite tous et d’un autre bord on a nos repères dans la rue ou elle se situe. Mais d’abord on s’arrête à notre restaurant où on a l’habitude d’y aller avant d’aller en boite. Personnellement je ne suis pas aller en boite pour dansé mais juste pour voir « Nounours » et « Miss Tornade » se déchaîner comme des dingues. Non moi je préfère les admirer et rigolé de les voir faire. Je ne sais pas quel est le point de vu d’Edward, peut-être est-il comme moi ou alors il cache bien son jeu de garçon bien calme. Quoi qu’il en soit, je le vois bien dans moins de 5 minutes car nous voilà déjà sortit du restaurant ! Pfff, je vais être fraîche moi demain en cours je sens que je vais dormir pendant l’heure de français.

Dès qu’on a mit les pieds à l’intérieur Alice s’est mit à sautiller sur place au son de la musique ! A ce demander si quand ses parents ont couché ensemble qu’ils l’ont pas fait sur un trampoline. Je ris doucement à cette pensée afin d’alerté personne de ma soudaine humeur. L’ambiance de la boite est très palpable et le son est ceux des années 80. De très belles musiques plus rythmées les unes aux autres font de temps en temps place à quelques slows. Oh on ne reste pas longtemps bien sur. Quand il y a un slow je vois Alice demander à Emmett de danser avec elle ce qui ne laisse pas de choix à Edward qui se retrouve seul à mes côtés ! Du coin de l’œil je regarde Alice me faire un clin d’œil alors qu’elle est aux bras du gros nounours. J’allais me lever pour me dirigée vers le bar afin de commander un gin tonic mais sans vraiment que je m’y attende Edward s’est lever en même temps que moi se retrouve à quelques centimètres de moi. D’instinct je reste surprise, comme geler sur place. Et alors là je ne m’attends pas du tout ce qui va suivre. Edward d’un geste timide mais pleins de volontés me tend une main en me demandant si je veux danser. Immédiatement je sens mon sang ne faire qu’un tour dans mon corps et baisse la tête vers sa main les joues empourprées, je me demande si je dois ou non accepter. Prenant que je le temps que je mette à répondre comme un refus il retire sa main rester immobile dans les airs et va s’asseoir mais je ne lui en laisse pas le temps que j’attrape sa main avec un sourire laissant échapper un oui à peine murmuré. Ce qui suffit pour le faire sourire à son tour et il m’emmène sur la piste. Alors que la musique de « Le géant de papier »(1) résonne dont les paroles sont ce que je ressens en cet instant. On se place l’un devant l’autre, je place timidement mes mains sur ses épaules en laissant un espace raisonnable entre nous. Lui place ses mains sur mes hanches ce qui me fait des frissons sur tous le corps. Je jette un léger coup d’œil autour de moi et je vois l’énorme sourire de Minipouss, comme s’amuse à l’appeler Emmett, Alice. Levant les yeux au ciel à sa vue je me re-concentre sur la danse qu’Edward et moi entamons afin de ne pas lui marcher sur les pieds bien que je sois très danse, je me surprends dé fois de marcher sur les pieds ou de rentré dans les danseurs sur la piste sans faire exprès. Comme il est à deux ans ! [/font][/color]



L’ambiance de la boite est à mon plus grand bonheur dans une folie de chansons des années 80. J’adore ces chansons tellement romantiques. Je sautille de joie en entendant « nuit de folie » (2) à peine entrée. Ce qui résonne parfaitement à ce que j’ai prévu pour Bella et Edward. Bien sur eux ils n’en savent rien quoi que je soupçonne Bella d’en avoir une idée. Mais bon elle peut pas savoir ce que je manigance. J’espère qu’ils vont apprécier. On est à une table à siroté nos boissons quand un slow fit son entrée dans l’ambiance survoltée. D’un bon je me lève.

- On danse frérot ?

Fis-je avec un gros sourire ! Je savais qu’il veut inviter Bella mais j’en ais décidé autrement.

- Bien sur Minipouss !

Me rendant mon sourire il prit ma main et on s’avance vers la danse collé l’un contre l’autre ce qui ne nous gêne pas du tout.

Je regarde la table que nous venons de quitter et vois Edward parler à Bella alors qu’ils sont très proche. Il doit lui demander quelque chose parce que je vois la tête que fait ma meilleure amie se baisser. Puis elle la relève et ils se sourient et se dirigent vers la piste de danse nous rejoignant. Je capte le regard timide et gêner de Bella et lui fait mon plus beau sourire afin de la rassuré. Ce qui marche puisqu’elle a prit de l’assurance et affronte le regard D’Edward sur elle.

- Ils sont mignons mes insectes !

La constatation de nounours me fait rire et sourire. C’est vrai qu’ils sont mignons tous les deux à bougé en rythme. La danse se fini sans que je ne les quitte des yeux et Emmett doit en faire autant à mon avis. Protecteur comme il était, si Edward fait un geste de travers je ne doute pas une seconde de la réaction qu’a mon frère à son égard. On quitte tous les quatre la piste pour retourné à notre table. Bella semble soulagée, mais de quoi ?

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Edward

A voir Alice et Emmett sur la piste de danse me fait penser que je ne peux pas rester comme ça à ne rien faire. Je me dois d’être un peu galant envers Bella. Je ressens des choses à sa présence que je n’ai jamais ressentis auparavant. Faut dire qu’à par le piano je ne sors pas beaucoup. Les filles de Forks ne m’intéressent pas. Mais je suis sur que si Bella habitait là-bas j’aurai dit que c’était la seule qui me faisait, me sentir bien dans cette ville pluvieuse et presque pas ensoleillée. Décidant de ne pas rester immobile je me relève sans le vouloir, je me retrouve à quelques centimètre de son visage, on s’est levé de notre siège en même temps. Je la vois se reculer quelque peu, ne lui laissant pas la moindre pensée arrivée, je lui tends ma main.

- Voudrais-tu danser avec moi ?

Elle baisse la tête visiblement gêner. J’ai irrésistiblement envie de tendre mon autre main et de lui relever le menton afin de voir son visage, son si doux et beau visage dont ses yeux chocolat me font fondre. Déçu qu’elle prenne autant de temps à répondre, je prends son silence comme un refus. J’allais m’asseoir lorsqu’elle prit ma main je lève mon regard et vois son sourire. Je ne peux pas m’empêcher de le lui retourné.

- Oui.

Elle a à peine murmurer ce mot et je mets une petite seconde avant de réagir et de l’emmener vers la piste où Emmett me fait un regard noir ce qui veut dire qu’il m’avertit que si je fais un truc qui ne lui plait pas j’en payerai le prix. On a des gestes maladroits pour positionner nos mains et en faisant quelques pas doux je la sens se détendre. Mais je n’ai pas loupé le frisson qui l’a prise aux contacts de mes doigts sur ses hanches. Lorsque la musique laisse place de nouveau à une chanson bien plus rythmé on se dirige vers la table qu’on occupait quelques minutes plus tôt. Alice et Emmett nous rejoignent et je m’aperçois alors du surnom qu’il a donné à sa sœur. Ce mec est un malade des surnoms. A 22 heures on décide comme un accord de rentré chez nous. Emmett dépose d’abord Bella chez elle, elle nous fit un « bonsoir » et un « à demain ». J’ai un sourire en repensant que demain je la verrai en cours. Puis viens à mon tour de quitter le gros 4x4 du balaise. Il va quitter sa sœur chez ses parents et revient dans le quartier pour rentré chez lui.

En rentrant chez moi, je n’ai pas perdu mon sourire. N’ayant pas du tout envie d’aller me couché de suite je me dirige vers mon piano où je laisse mes doigts glisser sur les touches faisant résonner une douce musique à mes oreilles alors que je ne connais pas du tout ce que mon esprit me fait jouer. Heureux du résultat du son qui me parvient, je décide prendre mon carnet de partitions et d’écrire cette douce mélodie. Satisfait, je me plonge sur le lit et m’endors avec le sourire toujours scotché aux lèvres.

Voici la deuxième partie !
Je fais des chapitres trop long pour ce forum XD



C’est avec un cœur léger que je rentre chez moi. Le sourire d’Edward n’arrête pas de venir s’imposer à mon esprit dès que je ferme les yeux. Dans la cuisine une lumière attire mon attention, Phil m’attend avec un regard sévère. Mon sourire que j’abordais jusque là se perd d’un seul coup.

- C’est à cette heure-ci que tu rentre !!

Me dit-il avec un air sévère en me toisant de son air méchant.

- Je n’ai pas de compte à te rendre !! Tu n’es pas mon père !! Et tu ne le serras JAMAIS !!!!

Dis-je alors plus en colère que jamais je n’ai pu l’être. Non mais de quoi droit se prend-il ? Il agit de façon si brute avec moi en cet instant que j’ai envie de lui sauter dessus et de lui balancer mon poing à son œil gauche encore valide. Dans le font, je remercie ce jeune joueur qui lui avait lancé la balle en pleine figure. Il le mérite amplement. Mais au lieu de ça je me retourne et monte les escaliers dans un bruit assourdissant. Ma bonne humeur s’est envolée et c’est de ÇA faute ! Je claque la porte de ma chambre réveillant sûrement ma mère qui dort sûrement déjà. Mais je ne culpabilise pas là dessus. Je prends mon pyjama alla dans la salle de bain pour me changer et me couche dans le lit froid. Dès que j’ai fermé les yeux ma colère s’en va pour laisser place à un sourire, face à un visage parfait qui s’impose sous mes paupières ! Et dire que demain j’allais le revoir….

Le matin arrive bien vite à mon goût mais cela ne me gêne pas du tout, au contraire. Tout comme ce weekend je suis heureuse de me réveillée et hâte de commencer une nouvelle journée loin de Phil. Bien que je le croise comme à mon habitude dès que j’irai chercher nounours en compagnie d’Alice pour le midi. Cette fois-ci il y aura même Edward si ça se trouve. Et mon sourire repris de plus belle. Depuis ce qui m’était arriver avec Nicky je n’ai plus fait confiance à un garçon. Même avec Emmett ça a été dur au début. Mais il a su me faire rire et avec Alice qui m’ait remonté le moral ça aller beaucoup mieux. Seulement je ne parle plus aux autres… Je quitte la maison qui est déjà vide puisque Phil est déjà partie vers l’école et ma mère ben heu… sûrement en vadrouille d’un nouvel emploi. Puisque je n’ai pas de voiture (ils refusent de m’en acheter une de peur que je me tue, pfff) je me dirigeai à pied vers le Lycée, lorsque au coin d’une rue je vois une voiture garée dont le conducteur était encore à l’intérieur et visiblement il attend quelqu’un. Qui attendait-il comme ça ?




Pour ceux qui ne connaissent pas les chansons que je mentionne dans la boite de nuit, je vous donne les paroles.



Demandez-moi de combattre le diable
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...

Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

Demandez-moi de réduire en poussière
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière
Et d'arrêter ce soir le cours du temps
Tout me paraît réalisable, et pourtant...

Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

{instrumental}

Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son cœur de femme, je suis un géant de papier




Y a pas de saison pour que vive la musique
Au fond pas de saison pour que vive le son
En marchant tu donnes une cadence à tes pas
Tu sens la musique au bout de tes doigts

Tu dis que la vie qu'on t'a donnée est faite pour ça
Tant de choses grâce au son tu connaîtras
Ton cœur est un saphir de pick-up
On a trouvé des décibels dans ton check-up

{Refrain: x2}
Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie

Tu danses le monde musique américaine
La cadence du funk au plus haut t'emmène
Le tempo en délire si ce soir il fait chaud
C'est qu'on monte nos mains vers le point le plus haut

{Refrain}

{Parlé:}
Toi qui dessines au fond de ton ennui les notes d'une mélodie
Une musique sans accord majeur c'est une piste sans danseur
Mais si tu ranges dans ces moments-là dans un placard tes idées noires
Les notes pourront se danser et nous reviendrons les chanter
Quand le sucre est tombé choqué le café renversé
Je sentais bien que la journée était mal commencée
Plus tard la caisse était cassée avant que craquent les chromes
Mettant la gomme j'avais détalé

La musique était mon sourire les vieux succès mes souvenirs
On sent tous son dernier soupir lorsqu'on va mourir
Mais un souffle j'avais gardé car on ne peut pas trépasser
Chacun le sait sans voir un disque jockey
Et tu chantes danses jusqu'au bout de la nuit
Tes flashes en musique funky
Y a la basse qui frappe et la guitare qui choque
Et y a le batteur qui s'éclate et toi qui tiens le choc

{Refrain}

¤ Chapitre 5 ¤ : Premier jour de classe

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Je continue à marcher droit devant moi sans faire plus attention à la voiture dont je me rapproche. Je ne dois pas traîner puisque le Lycée n’est pas si proche à pied qu’il le paraît en voiture. Une voiture grise dont je peux lire la marque une fois à la hauteur de celle-ci m’indiqua que c’était une Volvo, très belle voiture en tout cas. Dès que j’arrive à la hauteur de la portière arrière, la portière de celui du conducteur s’ouvrit et un jeune homme souriant s’en extirpa pour se tourner face à moi ! Edward, c’était donc lui qui est à présent devant moi ! J’ai comme un choc, pourquoi est-il garé là ?

- Bonjour Bella !

C’est ses premiers mots de la journée. Il a un sourire qui est vraiment éblouissant. C’est seulement après une seconde que je pus lui répondre.

- Bonjour Edward ! Que fais-tu là ?

Question bête ! Il t’attend pauvre cruche ! Mentalement je me tape la tête contre le mur d’un bâtiment derrière moi.

- Hey ben… je sais que Emmett m’a montré où est le Lycée samedi mais j’ai peur de me perdre.

Il a hésité avant de parler et je sais qu’il cherche ses mots. Pitre excuse d’ailleurs, le lycée n’est qu’à deux pâtés de maisons. Alors que je m’apprête à lui dire où aller par des gestes et des paroles (bien sur) il me demande.

- Tu es à pieds ? En jetant un œil à mon sac.

- Comme tu peux le voir ! Comme dirai certainement Emmett « Perspicace le moustique ! »

- heu, je peux t’y conduire, comme ça je peux de nouveau voir où il se trouve.

- Si tu veux.

Je m’installe dans sa superbe Volvo. Une chose se passe en moi. Une peur, oui j’ai peur de me retrouver dans une voiture seule avec un garçon. C’est peut-être stupide mais à je ne suis pas très à l’aise. Mais je dois faire attraction cette fois, parce que je ne veux pas que Edward sente ma peur d’être seule avec lui. Je suis sûre qu’il ne voudra plus me parler après. Je me tourne pour lui faire face.

- Pourquoi n’as-tu pas demandé à Emmett ?

- Il conduit trop vite !

Pff, je suis sûre que ce n’est pas la seule raison. Emmett est du genre à ne parler que de Baseball quand il est avec un de ses copains et je suis sûre qu’il l’a baratiné samedi. Sans un mot de plus Edward démarre la voiture la faisant gronder et s’engage sur la route. Il me demande par deux fois où tourné. Enfin nous arrivons au Lycée et toutes les têtes présentes sur le parking se tournent vers nous. Qu’est-ce que je n’aime pas ça mais en même temps je les comprends ! Ils ne me regardent pas, mais seulement le nouveau qu’est Edward. Alors qu’on est au coffre de sa voiture deux autres arrivent sur le parking et se mit de par et d’autre de celle d’Edward. Je peux reconnaître sans mal leurs conducteurs. La Jeep d’Emmett se met à gauche tendit que celle de droite n’est autre que la décapotable d’Alice. Emmett gros balourd sauta de sa Jeep et me prend dans ses bras comme d’habitude. J’ai appris à ne pas être surprise de se geste quand à Alice un gros sourire et un « bonjour ». Emmett tape sur l’épaule d’Edward qui faillit tomber sous le choc de l’impact.

- Alors moustique prêt pour ta première journée ?

- Heu ouais ! Répondit-il se massant l’épaule. Il faut que j’aille à l’administration.

- Pas de problème, Bella va te montrer. On vous rejoint après Emmett et moi on doit voir pour le match de cette après midi. Alice se tourne vers moi avec un énorme sourire qui était presque un rire. Tu te rappelle qu’ils ont promit de nous faire voir ce qu’ils avaient après comme danse de la victoire ?

J’hoche la tête et déjà je ris de pouvoir les voir faire. Je suis sûre que c’est une danse ridicule. J’entends tout de même Emmett qui se met à grogner à côté de moi alors qu’on se dirige tous les quatre vers le bâtiment scolaire. Alice et Emmett nous laisse avant qu’on entre. Je conduis donc Edward vers l’administration et attends dehors alors qu’il entre dans le secrétariat. Bien sur, je n’ai pas à attendre longtemps, il en ressort avec deux feuilles, l’une est le plan des classes et l’autre son emploi du temps. Il me tend la feuille de son emploi du temps comme si je lui ais demandé. Mais néanmoins j’accepte qu’il veuille que je voie ce que serrai ses cours des semaines qui allaient venir dans ces deux mois. Son premier cours d’aujourd’hui est la biologie avancée. Je lui dis que c’est un de mes cours préférés et donc qu’il allait être en ma compagnie. Le second était les maths, ce cours là il le passera avec Alice, une vraie machine a calculé cette fille ! Français où il les passera seul et enfin géographie/histoire où on se retrouvera tous les trois dans la même classe. Ce qui était vraiment l’unique cours qu’on a à partager ensemble. Ensuite il y avait la pause déjeuner. Et là moi là ou j’ai deux heures de Sports (là ou je peux à tout moment blesser quelqu’un) Edward a ses heures de solfèges où il pourrai pratiquer sa passion et sa raison d’être ici à Phœnix ! La journée passe ainsi chacun de nous fait voir au petit nouveau où sont les classes pour les jours avenir. Mes deux dernières heures de cours sont consacrées à la danse avec Alice. Mais on n’est pas dans la même salle, on n’a pas les mêmes goûts de musiques. Pendant qu’elle danse sur de la pop moi c’est sur de la danse classique.

A la fin des cours Emmett nous donne rendez-vous au stade où avec ses copains ils nous attendent. Edward lui ne sait pas du tout à quoi s’attendre puisqu’on n’a pas beaucoup parlé mais Alice et moi on est déjà hilare de ce qu’on allait voir comme spectacles. C’est en arrivant dans le stade qu’on s’installe dans les gradins en attendant la fameuse équipe arriver et nous faire leurs numéros. On ne dût pas attendre longtemps puisque Emmett en nous voit avait donné le signal. D’un coup l’équipe entière déboule en trombe sur le terrain et se mit en ligne face à nous et d’un coup ils se sont mit à crié le nom « Ours Sauvages » qui est le nom de l’équipe, en se trémoussant et imitant des pom-pom-girls. Sans pouvoir nous retenir tous les trois on est tordu de rire.

- Rassurez-moi que ça ne va pas être ça leur danse de la victoire !

Nous dit-il entre deux crises de rire, Edward. Malheureusement aucune de nous deux ne peut lui répondre trop occupé à rire de ce qu’on voit. C’est seulement au bout de quelques minutes qu’on voit Emmett venir vers nous avec un sourire sur de lui qu’on rit d’une blague que l’un de nous a pu dire.

- Alors qu’est-ce que vous en dites ? Qu’est-ce qui vous a fait rire ?

Ce fut Alice qui parle pour nous.

- Heu sérieusement vous n’avez pas l’intention de faire cette danse si vous gagné contre Boston ?

- Bien sur que si ! Pourquoi elle est pas bien ? Bon je sais qu’il faut qu’on s’améliore question d’être synchro…

Sans un mot de plus Alice ma jette un regard me suppliant d’intervenir. Ce que je fait.

- Nounours, ce n’est pas pour te vexé mais cette danse nous fait plus rire qu’autre chose. Non vraiment il faut que vous ayez des pom-pom-girls avec vous. Je ne sais pas moi, vous vous mettez en rond et vous criez le nom de l’équipe et les filles pourraient monter sur vos épaules ou faire des figures à votre place.

Après un moment de réflexion je vois Emmett froncé les sourcils et son visage s’illuminent. Ce qui me fait peur à chaque fois qu’il a cet air sur sont visage et surtout quand il me regarde. Ça n’envisage rien de bon, pour moi.

- Ce n’est pas bête ton idée des filles qui monte sur nos épaules. On pourra voir leurs culottes sous leurs jupes… Dit-il avec un énorme sourire. Puis il marque une pause pour continuer. Tu ne veux pas me montrer ce que tu as comme idée et en parler avec l’équipe ?

Oh oh ! J’ai pas rêvé ? Rassurez-moi que je fais un mauvais rêve ! Un cauchemar !!! Sans attendre ma réponse gros nounours me pris sur son épaule en riant alors que je martèle son dos de mes poings afin qu’il me relâche. Il se dirige vers son équipe et de là où je suis, je peux voir Alice courir après nous et hurler après son frère de me lâcher, suivit par un Edward hilare de la situation. Emmett me pose enfin sur la pelouse fraîche, il se retourne et me dit de dire à l’équipe ce que je lui ais dit tantôt. Je le fait bien sur en modifiant quelque peut une ou deux de mes phrases. Ils hochèrent tous, la tête et Emmett exposa son idée pour que je leur face une démonstration. Je soupire et dit que je le dirai plutôt aux pom-pom-girls. Ce qu’ils acceptent et je soupire d’apaisement car franchement je ne veux pas me donner en spectacle. Dès le lendemain j’aurai comme mission de voir ses fameuses filles qui fantasmaient toutes sur chaque joueur. Ça n’allaient pas être de la tarte de parler à ses filles sans cervelles. Comme un accord on retourne chacun à nos voitures, enfin tous les trois puisque je n’en possède pas une. J’allais commencer à partir à pied lorsqu’une main attrape la mienne me fait tourner le regard vers nos mains jointes. Je remonte mon regard et vois que ce n’est autre que Edward. Un rouge chaud me monte d’un coup dans mon corps pour s’arrêter sur mes joues.

- Je peux te ramener chez toi !

Dit-il en plantant ses yeux dans les miens et un sourire se peint dans son si beau visage. Ne trouvant aucun mot à dire j’hoche la tête. Le sang qui est monté sur mes joues m’a au passage noué la gorge. Sans un mot de plus il lâche ma main et je sens d’un seul coup un vide en moi. Je ne sais pas expliquer pourquoi je ressens cette sensation de bien être quand il me tenait la main, un simple contact. Il m’attend tenant la portière du côté passager de sa Volvo en me souriant. Mon dieu qu’il arrête de sourire ou je ne vais plus répondre de moi… M’efforçant de regarder par terre pour faire attraction à son visage, en le relevant, je peux voir le visage malicieux d’Alice en croisant son regard alors que je m’assis dans la voiture. Le trajet du Lycée jusqu’à ma maison se fait dans le plus grand silence. C’est seulement quand il se gare dans l’allée qu’il me darde un regard.

- Est-ce que tu veux, que je vienne te chercher demain ?

Alors là je ne sais pas du tout quoi dire. Je ne le connais que depuis trois jours et déjà il me demande s’il pouvait être celui qui me mènerait au Lycée. Que suis-je sensé dire ? Dois-je accepter qu’un garçon soit mon chauffeur ? Dois-je lui faire confiance ? Depuis que Nicky (que ça fait mal de penser à lui) m’avait fait très mal, je n’avais plus jamais ait confiance à un garçon les fuyants même. Bien que je le trouve extrêmement beau je ne peux m’empêcher de me sentir méfiante. Toute fois je lui répondit ravalant ma peur de me retrouver seule avec lui demain matin.

- Oui, je veux bien.

Il a quelque peut perdu son sourire quand il a vu que je ne répondais pas. A-t-il devinez ce que je ressentais ? Ou bien il a peur que je refuse ? Chose que j’étais bien tenté de faire mais que je n’ai pas fait. Il retrouve son sourire.

- Bien alors soit prête à 7 heures 30.

Je lui retourne son sourire par politesse. Mon dieu ce que se sourire pouvait être si sexy ! Je sors de la voiture mais avant de refermé la portière.

- A demain, bonne soirée.

Et je la ferme. J’attends qu’il démarre mais apparemment il ne le fait pas. Peut-être préfère-t-il que je rentre chez moi pour partir. Je me retourne donc et une fois que j’ouvre la porte d’entrée de ma maison, une Volvo grise démarre en trombe et parti avec un petit klaxon pour me dire au revoir. Je n’ai pas le temps de réagir que la voiture est déjà loin. Je soupire et monte dans ma chambre faire mes devoirs.

Une heure plus tard je sors de la maison et je me rends à l’institue « Art de vivre », c’est un endroit pour ceux qui aiment la musique et danser. Ce bâtiment je l’aime beaucoup, pour son charme mais aussi parce que je me sens bien. Je réserve une salle pour moi, le gardien me connaît car je viens presque tous les jours ici. Je mets de la musique classique « La Lettre à Élise » de Beethoven. J’ai besoin de répété deux ou trois pas de danse. Cette musique est faite pour me calmer et m’entraîner dans un rythme doux et lent mais aux passages plus vite de temps en temps. Je commence à danser en suivant la musique, mais c’est en tournant sur moi-même que je perds l’équilibre et c’est là que je découvre qu’on m’espionne. Un homme au doux sourire se tient dans l’encadrement de la porte de la salle et m’a regardé danser...

¤ Chapitre 6 ¤ Une découverte extraordinaire.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Je danse sur cette mélodie que j’adore beaucoup. C’est à vrai dire ma musique préférée, « La lettre à Élise » est si pleine d’amour, de joie et d’espoir que je suis tomber totalement sous son charme. Lorsque je m’apprête à continué sur le rythmé lors du refrain avant d’entamer le deuxième couplé, je voulus faire une pirouette pour tourner sur moi-même en faisant deux tours. Le premier tour se passe bien mais à la fin du deuxième je perds l’équilibre et m’entraîne dans une chute. Je n’ai pas mal, ce qui m’étonne parce qu’avec la chance que j’ai à la moindre chute soit, je me foulais la cheville soit, je me tordais le pied. J’allais pour me relever lorsque mon regard se porta à vers la porte de la salle de danse que m’a confié Bob le gardien du local. Mes yeux se posent sur quelqu’un que je ne m’attends pas du tout à voir ici. Lui, celui qui fait battre mon cœur alors que je ne sais pas qu’il pouvait ressentir ça une nouvelle fois après ce que j’ai vécu.

- Edward ?!?

J’affiche une mine surprise sur mon visage et je le vois sourire. Je suis à présent debout, habiller seulement d’un collant et par-dessus une jupe qui en fait ressemble plus à un voile, ainsi qu’un top qui me colle à la peau. C’est la tenue que je mets pour pratiquer des danses de ce style.

- Bella, je ne savais pas que tu dansais...

Il n’arrête pas de sourire et il n’arrête pas non plus de me détailler de bas en haut avec ses yeux.



Cela fait à peine quelques minutes que je suis entrée dans ce bâtiment que m’avait conseillé mon professeur de musique ; Je suis en train de remplir le formulaire d’inscription pour pouvoir venir ici pendant les deux mois que je dois faire ici avant de retourné à Forks. Je discute en même temps avec le concierge qui s’appelle Bob. Drôle de nom. Enfin, on ne choisit pas... D’un coup j’entends un air de piano que je connais par cœur. Une musique que j’ai appris à pratiquer en premier dès que j’avais eu un piano entre mes doigts. J’ai relevé la tête interrogeant Bob du regard.

- C’est une jeune fille qui vient régulièrement ici pour danser…

M’a-t-il dit avec un sourire quelque peu rêveur. J’esquisse un sourire à son expression et hoche la tête. Je me promis de passer devant sa salle pour la regarder quelques instant. Bob me dit ou il y a un piano et si j’ai besoin de quoi que ce soit, il était là. J’hoche une nouvelle fois la tête. Je suis le chemin qu’il m’a dit pour accédé à la salle ou trônait un piano, lorsque je passe devant la salle de la jeune fille. Je me demande qui est cette fille ? Pourquoi danser sur cette musique ? Je m’arrête là et la contemple, belle, gracieuse et souple, habillée pour cette danse légère au refrain un peu plus endiablé. Je comprends le sourire rêveur qu’a eut le concierge. C’est la première fois que je vois une fille porter autant d’amour et de joie transportant la musique avec elle. Et c’est quand elle fait semblant de courir que je vois son visage. Enfin courir est un bien grand mot, à mes yeux elle volait posant à peine ses pieds sur le parquet. Bella. C’est elle qui danse devant mes yeux. Je suis étonner qu’une fille à l’allure si timide puisse danser avec tant de grâce. Je ne la lâche pas des yeux en oubliant même la musique dont le rythme s’accélère avant de laisser place au deuxième couplet beaucoup plus lent. Elle fit une pirouette aussi gracieuse que possible. Elle va vite, beaucoup trop vite à mon goût. Le premier tour elle le fait avec brio mais la réception du deuxième elle a mets son pied trop tôt et elle chute. Je voulais me précipiter vers elle pour lui demander si elle n’a rien de cassé ou si elle allait bien. Et c’est là quand elle s’apprête à se relever lorsqu’elle leva ses beaux yeux chocolat sur les miens. Je me sens fondre mais au lieu de ça un sourire est né. A vrai dire il est afficher sur ma facette depuis que j’ai vu un ange danser devant moi. Elle est un ange, je veux presque crier qu’elle est MON Ange. Mais je n’ai pas le droit, pas encore. C’est trop tôt, beaucoup trop tôt. Sa voie, sa douce voie surprise résonne dans la pièce en prononçant mon prénom. Je fais de même mais j’ai complété par une phrase qui a un ton de surprise.

- Je pratique de la danse classique au lycée pendant tes heures de piano.

Elle dit alors qu’elle est de nouveau debout face à moi. Je n’ai pas remarqué qu’elle s’est relever et me regarde, je suis perdue dans mes pensés. Ainsi elle faisait de la danse classique.

- Je l’ignorai…

Mentalement je me tape la tête, mon dieu que je peux être bête. Elle me gratifia d’un sourire.

- Que fais-tu ici ?

Heu… là je crois que sa chute l’a un peu déboussolée. C’est elle-même qui a dit que je pratique du piano alors sa question est un peu bête comme ma réponse avant cette question. Réfléchit Edward ! Le prof ! Ouais c’est ça le prof m’avait parler de cet endroit.

- Mon prof M. Bean (N.A. : Pas le même que la série je vous rassure. Quoi que ! lol) m’a dit que je peux venir ici pour m’entraîner.

- Oh ! Mais je croyais que tu avais un piano chez toi ?

Ok là elle marque un point. Je n’ai pas à venir ici puisque je ma sœur m’avait offert mon piano à queue noir pour mes 15 ans et je l’avais pris pour mon nouvel appartement. Qu’est ce que je peux répondre à ça ? Arff pour une fois, c’est moi qui ne sais plus quoi dire !



Je regarde Edward attendant qu’il me dise ce qu’il fait ici. Bien que bien sur, je sais qu’il pratique du piano, mais Emmett a dit qu’il a vu un piano chez lui et Edward a même confirmer quand on a discuter à un café du port. Je le vois hésiter à répondre. Pourquoi ? C’est pourtant une question simple que j’ai posé. Je ne lui ais pas demandé de me raconté le cours d’histoire qu’on a eut aujourd’hui. C’est seulement lorsque le silence règne que je remarque que la musique avait fini. Je soupire, je veux à tout prix recommencer à danser pour que je puisse faire voir demain à Mme Snumer que j’ai fait des progrès. Du moins je veux enlever cette chute que je fais toujours lors de la deuxième tournante. Edward semble trouver enfin ses mots mettant fin à ce silence.

- C’est vrai j’en ai un, mais je voulais voir cet établissement dont il m’avait parlé. Je vais te laisser, t’entraîner si tu veux.

M’a-t-il dit avec un regard désolé et sa voie c’est quelque peu casser. Ce que je peux être méchante. Mais je n’aime pas me sentir espionner à mon insu. Si on doit me regarder danser, c’est qu’on m’a demandé la permission. Bob le savait, il n’a jamais fait irruption d’un coup dans la salle et me demande à chaque fois s’il peut venir me regarder. C’est là que j’apprécie et accepte d’être admirer. Mais je ne peux pas en vouloir à Edward car il ne le sait pas du tout que c’est moi qui danse sur cette musique.

- Tu peux rester si tu veux. Ça ne me fais pas trop plaisir qu’on m’observe sans que je le sache. Mais maintenant que je sais que tu es là tu peux me regarder.

Je veux à tout prix me rattraper. Je ne veux plus voir cet air désolé sur son si beau visage. Un être aussi beau comme il est ne peut afficher un visage aussi triste. Il me sourit ce qui me fait sourire à mon tour et enlève un énorme poids au cœur. J’ai réussi à le faire sourire.

- Tu pourras peut-être venir m’écouter un de ses jours…

C’est avec une immense joie que j’hoche vivement la tête. J’ai hâte de savoir ce qu’il jouait comme musique. Et puis peut-être que c’est en remerciement de pouvoir me regarder ce soir qu’il a dit ça. Mais je n’ai rien à faire, je suis heureuse qu’il me le propose.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Edward

Je lui ais proposé un de ses jours de venir m’écouter jouer au piano si elle le décidai. Je veux lui faire plaisir comme elle le fait ce soir. Je veux tellement la voir heureuse comme je l’ais vu lorsqu’elle a dansé. Je me dirige vers le fond de la pièce où il y a un semblant de petit murer ou était entreposer son sac et un gilet gris. Je m’installe à côté de ses affaires touchant son gilet du bout des doigts. Un doux parfum de freesia s’élève du vêtement, je le regarde, j’aurai voulu le porter à mes narines afin de m’enivré de ce parfum envoûtant. Mais je détourne le regard pour le porter sur Bella. Elle se dirige vers la chaîne hifi qui est incruster dans le mur à côté de l’immense miroir qui se trouvait en face de moi et qui trônait tout le long du mur. Elle remet cette mélodie qui la représente si bien et se met à danser sous mes yeux. Je la dévore littéralement des yeux. Que m’arrive-t-il donc ? Je ne sais pas le dire. Jamais je n’ai eu une attirance pour une fille quelconque. Mais elle n’est pas ordinaire à mes yeux. Elle a quelque chose en elle qui m’attire et dont je ne peux nier. J’apprécie être en sa présence. Les minutes défilent et cette fois-ci lorsqu’elle se met à tournée sur elle-même deux fois elle ne tombe pas. Je suis soulagé. Je ne supporte pas de la voir tomber et de voir un rictus de douleur sur son visage angélique. C’est quand elle finit de dansé que j’ai applaudit comme un spectateur ou un admirateur. C’est peut-être ce que je suis devenu, un admirateur. Un coup d’œil à la montre me fait remarquer de l’heure qu’il est, il est presque 19 heures 30. Et je n’ai pas encore mangé. J’ignore si c’est son cas lorsqu’un bruit venant du fond de la salle de danse se fait entendre. Son ventre cria famine. Et je la voie rire ! J’en conclue donc qu’elle est dans le même état que moi, c’est à dire « mort de faim ». Je la vois prendre son disque et se dirige vers moi encore son visage rieur.

- Désolée, je n’ai pas encore mangé ! Je suis venue directement ici après mes devoirs.

Dit-elle avec un air faussement désolé. Elle laisse à nouveau me faire entendre son merveilleux rire lorsque mon ventre a subitement laissé entendre son bruit à son tour répondant au sien. J’en rit avec elle un moment puis, je lui demande.

- Puis-je t’inviter à dîner ?

J’ignore si elle allait accepter ou refuser. Après tout ça ne fait que quatre jours qu’on se connaît et il me semble que cela faisait plus longtemps que ça. Ça résonne comme des retrouvailles à mes yeux comme si on avait été séparé depuis longtemps et qu’on venait de se retrouver. Son rire a cessé et ses yeux montrent de la terreur. Même dans ses gestes elle s’est stopper. Que se passait-il ? Elle a peur. Mais de quoi ? De moi ? Je lui fais peur ? Mais pourquoi elle a souhaité ma présence si elle a peur de moi ? Je dois le savoir le lui demander.

- Bella ?!? Quelque chose ne va pas ?

Ses gestes se firent brusque d’un coup comme si elle est nerveuse. Mais de quoi donc a-t-elle peur ?

- Non ça… ça va ! Il… il faut que je rentre. Il est tard…

Ce fut sa réponse. Elle a parlé nerveusement évitant de me regarder, fixant un point sur un mur en face d’elle tout en mettant son gilet avant de partir en courant avec son sac sur le dos. Je regarde la pièce vide sans comprendre ce qui vient de ce passé. Il faut à tout prix que je sache ce que j’ai dit qui l’a mise dans cet état ! Je pars à mon tour de l’établissement disant au revoir à Bob. Je monte dans ma Volvo grise et parti chez moi. Je dois manger et dormir. Mais demain je me promis de lui parler et si elle ne veut pas m’en parler, je demanderai à Alice ou même Emmett. C’est le cœur et l’esprit remplient de questions que je m’endors très tard.

¤ Chapitre 7 ¤ : Souvenirs et explications (1ère partie)

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Je suis rentrée en courant chez moi hier soir. Je ne sais pas pourquoi je l’ais fuit, lui, qui est si gentil. Ou plutôt si je le sais que trop bien. Si j’ai accepté, je me serrai retrouver seule avec lui dans sa voiture et j’aurai eu l’impression de revenir en arrière avec Nicky. Une larme coule sur mon visage en pensant au mal qu’il m’avait fait. Il faut que je parle à quelqu’un en regardant ma montre je me rends compte qu’il est vachement tôt. Mon père dort sûrement et Alice aussi puisqu’il est cinq heures du matin. Je n’ai pas dormi de la nuit faisant des cauchemars. Pourtant il fallait que je parle mais à qui ? Pendant deux heures je reste là couchée dans mon lit à ruminer le passé et pleurée comme si ce qui m’était arriver c’est passer la vielle. C’est avec un air triste que je m’habille et que je téléphone à Alice pour qu’elle vienne me chercher pour le Lycée. Je n’ai pas envie de faire la rencontre d’Edward comme hier matin.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Alice

Je viens tout juste de finir de me coiffée quand je reçois un coup de fil de Bella. Elle a une triste voix et me demande de venir la chercher pour le trajet de chez elle au Lycée. Elle a l’air embarrasser. Je lui ais répondu c’est un plaisir et que je viens la chercher sans problème. Je lui ais aussi demandé ce qui ne va pas mais Bella ne veux pas m’en parler au téléphone. Je n’insiste pas, comprenant parfaitement qu’elle me parlerai quand on serras l’une en face de l’autre. Je me pose des questions. C’est lorsque j’arrive devant chez elle que je la voie qui m’attend avec ses grosses lunettes noires qu’elle mettait que lorsqu’elle avait trop pleuré. De suite je sors de ma belle jaguar et je me précipite pour la prendre dans mes bras.

- Bella… qu’est-ce qui se passe ?

Je me suis écarté d’elle et lui ais enlevé les lunettes au passage. C’est là que je voie ses cernes. Elle me fait peur lorsqu’elle est comme ça.

- Tu as encore fait ses cauchemars ! !

C’est plus une affirmation qu’une question. Elle a hoché la tête et s’apprête encore à pleuré. Si je revois ce Nicky je jure que je lui en ferrai voir de toutes les couleurs et Emmett se ferrai une joie de lui arranger la façade ! Mais qu’est-ce qui a bien pu ranimer ses horribles souvenirs ? On se dirige vers la voiture et tout le long elle lâche qu’une phrase.

- Edward, je ne veux pas le voir.

Elle a pointé du doigt la voiture grise où je le vois à l’intérieur. Lorsqu’il voit ma voiture, il a tourné la tête, un air contrarié sur son visage et s’est mis dans la circulation sens crié gare. Je le vois dans mon rétroviseur. Arrivé au Lycée, on sort toutes les deux de la voiture quand Edward s’approche de nous. Bella a vite mit ses lunettes et s’est éloignée. Je la suis ne voulant pas la laisser seule dans cet état.



Il faut que je la voie et c’est qu’en l’attendant que je suis sure de la voir venir à pied au Lycée. Comme elle n’a pas de voiture ni d’autre moyen de transport, elle ne peut que passer par-là comme hier. J’ai pleins de questions à lui posé sur ses réactions d’hier soir. Pourquoi elle a tout à coup blanchi lorsque je l’ais invité à dîner ? Ce n’est rien qu’un simple dîner et je l’aurai raccompagné chez elle. Elle n’a rien à craindre. A moins que d’être seule la mette mal à l’aise ! Mais pourquoi elle a accepté que je reste dans la salle de danse si elle a eut peur que je lui fasse du mal ? Ça fait bien dix minutes que j’attends, assis dans ma Volvo qu’elle passe. Je regarde un peu les voitures qui passent à ma droite, de belles voitures passent. Mon regard accroche une voiture que je connais déjà pour l’avoir vu samedi soir et qui est conduite par Alice. Mais elle n’est pas seule, j’ai pu voir Bella avec des lunettes noires qui cachent ses magnifiques yeux. Pourquoi est-ce qu’Alice est aller la cherchée ? Pourquoi cache-t-elle ses yeux ? Bella ne sourit pas non plus.

Sans plus attendre, je me mets dans la file de la circulation à deux voitures de celle d’Alice. Je talonne même la voiture devant moi pour qu’elle aille plus vite. J’arrive enfin au Lycée ou je me gare et sans plus attendre je repère la jaguar d’Alice. Elle a bon goût en voiture mais cela ne m’importe peu en ce moment. Je veux avoir une discutions avec Bella pour savoir ce qui n’a pas du tout avec elle. Lorsque je me dirige vers elles, Bella part aussi vite lorsqu’elle m’a vu arriver. Mais pourquoi ? Je sens deux gros bras me retenir en arrière, tournant la tête pour regarder qui a osé me touché, je suis surpris de voir que c’est Emmett. Je fronce les yeux. Je ne comprends pas pourquoi il m’a empêché d’avancer vers celle qui portait un secret.

- Je t’interdis de les approchées pour l’instant ! Tu viens avec moi !

Je suis comme pétrifier sur place, il a un regard dur et une voix sévère. Comme s’il sait quelque chose que je ne dois pas savoir ! Il m’emmène vers son club de Baseball. Et ils parlent de leur équipe et de quelques tactiques. Je n’en ais rien à faire de leur discutions mais Emmett a garder son bras autour de mes épaules comme s’il se doute que j’allais partir et qu’il m’en empêcherai.



Alice a téléphoné, il y a maintenant plus d’une vingtaine de minutes, disant que Bella est mal en point. Je me doute bien que Bella ne s’est pas remit de ce que ce type a bien pu lui faire dans le passé. Mais la cause, la raison de son soudain appel n’a été évoquée. Alice m’a aussi informé qu’elle allait chercher Bella. Bien que je n’habite plus dans la maison familiale je n’ai pas perdu le contact avec Alice. On se parle beaucoup comme avant que ce soit lorsqu’on se voit ou par téléphone. Quelques minutes après son premier appel, j’en reçu un autre me disant d’éloigner Edward le plus longtemps possible de Bella. Quelque chose c’est passer entre eux et je me demande bien ce que c’était. Lorsque je vis la décapotable de ma sœur et surtout la passagère avec ses lunettes noires j’ai la confirmation qu’il y a bien eue quelque chose. Je soupçonne Edward d’avoir fait du mal à ma ptite mouche. Aussi lorsque je le vois se diriger vers la jaguar je me mets derrière lui, lui bloquant les bras et l’empêchant ainsi d’avancer. Je lui dis qu’il a intérêt à me suivre et qu’il est interdit d’approcher de Bella. Je garde un œil sur lui et avec un bras sur ses épaules comme pour pas le perdre de vus. Alice me dira plus tard ce qu’a Bella.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Je suis sortie vite de la voiture m’éloignant au plus vite du parking du Lycée. Je ne veux pas voir Edward, si je le peux, je m’enfoncerai dans le sol afin de ne plus voir aucun mec. Qu’ai-je bien pu faire au bon dieu pour que je me trouve tout le temps dans un malheur ? D’abord très timide j’ai accorder ma confiance à Nicky pour qui j’ai eu des sentiments pour lui, je suis tombée amoureuse et crois que c’est réciproque mais je me suis tromper. Il s’est jouer de moi, lui et ses copains. Je pleure encore lorsque mon esprit vagabonde dans ses douloureux souvenirs. Comment je n’ai pu voir à quel point j’ai été idiote cette soirée là après mon récital ? Pourquoi je n’ai pas demandé à Alice, à Emmett où à leurs parents s’ils voulaient bien me déposer chez moi ? Non il a fallu que Nicky me le propose et que j’accepte. Mes larmes se sont mises automatiquement à coulées le long de mes joues. Alice, ma seule et unique amie de Phœnix me prend dans ses bras, elle se doute que je ne guérirai sans doute jamais de ce qui m’était arrivé. Je m’en souviens comme si c’était hier soir que ça s’était passé.

Début du Flash Back

C’est le jour ou il y a un récital de danse, j’ai dansé sur une musique très sensuelle, je ne sais pas de quelle musique c’était puisque c’est les jurys qui avaient choisi donc j’avais dansé suivant le rythme. Il est tard et mes parents n’étaient pas venus. Phil, était à un entraînement, Renée était malade donc impossible de se déplacer. Alice était avec ses parents. Et moi j’étais venue avec Nicky. Il m’avait gentiment proposé de m’emmener dîner dans un restaurent chic pour fêter ma soirée. J’ai accepté, j’aimais passer mes soirées en sa compagnie et en plus il était très gentil avec moi. J’avais dis au revoir à Alice et Emmett ainsi qu’à leurs parents et je suivis Nicky jusqu’à sa voiture. On roulait tranquillement le sourire aux lèvres, nos mains jointe, du moins une de nos mains. Mais au lieu de prendre la route habituelle il bifurqua dans une ruelle me disant qu’il connaissait un raccourcit. Je regardais les rues de plus en plus isolées et de moins en moins éclairées me donnant la chair de poule. Puis d’un coup il a tourné dans une rue à gauche qui menait vers un ancien gymnase abandonné. Là il s’était arrêter devant et s’était tourner vers moi pour me faire face.

- Il y a une surprise pour moi à l’intérieur. Dit-il avec une étrange lumière dans les yeux.

- Ah ! Qu’est-ce que c’est ? Dis-je surprise qu’il y ait quelque chose pour moi dans un endroit pareil.

- Bella si je te le dis ça ne serra plus une surprise !

Puis il sortit de la voiture en faisant le tour et m’ouvrit la portière comme il l’avait toujours fait. Puis il se mit derrière moi me cachant les yeux. Il avait ouvert la porte qui grinçait dans ses gonds. Il enleva ses mains mais avant de le faire, il m’avait demandé de garder les yeux fermer. J’avais hoché la tête ignorante de ce qui se passait. Des pas se fit entendre autour de moi, ce n’était pas ceux de Nicky puisqu’il n’avait bougé que de quelques pas autour de moi. Mais a qui appartenait ses pas qui résonnaient dans ce vieux gymnase ? J’entendais également des gloussements étouffés. C’est quand je me suis sentie plaquer contre un mur brutalement que j’avais ouvert les yeux de stupeur et là tout mon corps s’était figé, cinq garçons étaient en face de moi, quatre que je ne connaissais pas mais le cinquième n’était que Nicky des yeux je les regardais tous et la même lueur sadique brillait dans leur regard. Nicky qui était le plus près et qui m’avait plaqué contre le mur m’avait alors embrassé et commençait même à me dévêtir devant ses camarades. Je me mis à crier d’arrêter et à vouloir l’écarter de moi, mais il me tenait coincer entre lui et ce mur de béton. Je me suis mise à pleurer, j’avais compris ce qui allait ce passer. Je n’osais pas qu’il avait osé faire ça ! ME faire ça ! Je ne sais plus combien les heures s’étaient défilées, mais c’est presque qu’inconsciente que j’avais vu la porte de la vieille battisse s’ouvrir avec fracas et un Emmett plus qu’en colère se battre avec tous ses s***ps. Suivie par Alice qui s’était précipité vers moi et qui m’avait recouverte avec je ne sais plus quoi et m’avait consolée. J’eue juste de voir Emmett se pencher sur moi et me prendre dans ses bras que c’est là qu’arriver le trou noir.

J’avais ouvert mes yeux dans un lieu blanc, et la douce voix d’Alice m’accueilli dans ce lui inconnu.

- N’ai pas peur, Bella, tu es chez nous

Dit-elle avec un doux sourire rassurant. Je ne pouvais pas parler, j’avais encore les images de ce qui s’était passé dans cet enfer. Emmett était entré dans ce que j’avais deviné être une chambre, et d’instinct je m’étais recroqueviller sur moi-même reculant le plus loin possible. C’est avec le visage torturé que je le vis faire demi-tour et quitter la pièce et je pu lâcher un soupir.

Plusieurs jours avaient passé, j’appris que Nicky avait quitter la ville avec ses potes, une haine c’était faite. Je voulais les voir morts mais surtout lui. Celui que j’avais aveuglément fait confiance et aimer. Emmett ne pouvait toujours pas m’approcher sans que je me mette à avoir peur de lui. C’est seulement deux mois après l’agression que je pu lui faire confiance. Alice avait été contente que je pouvais de nouveau parler à son frère, elle avait beaucoup souffert de me voir réagir comme ça envers lui, et c’était pareil du coté de son frère.

Fin du Flash Back

C’est lorsque que je me calmais, du moins que mes sanglots s’arrêtent car mes larmes, elles continuent de se déversées. Qu’Alice osa me parlé ! Elle me demande si ça va mieux et la gorge serrer de mes précédents pleurs qui m’ont comme coupé les cordes vocales, j’hoche la tête pour lui répondre. Plusieurs secondes s’est écrouler et la sonnerie allait bientôt retentir annonçant ainsi le début des cours. Je ne peux pas me montrer dans cet état ! Que diront les élèves ? Ils allaient tous me questionner sur ce qui se passe et va s’en donner à cœur joie de faire courir le bruit que je pleure à cause de mon passé si je leur disais. Alice m’extirpe de mon angoisse.

- On va sécher ce cours, je ne peux pas te laisser comme ça !

Je la remerciais intérieurement pour ce qu’elle disait. Ça me touchait beaucoup, elle était tout pour moi. Elle et Emmett étaient les seuls pour qui j’ai encore en vie malgré ma tentative de suicide après ce que ce monstre m’avait fait. Il avait à anéantir ce monde qui était merveilleux à mes yeux.

- Merci, pour être là pour moi Alice.

- Je t’en pris, je ne te lâcherai pas de la journée.

Et je sais qu’elle le pense et qu’elle le ferrait. C’est ainsi qu’on s’éloigne du Lycée à pied pour se retrouver dans un petit parc tout près et assez discret. J’ai vu Alice qui s’est retourner et je fais de même en remettant mes lunettes, je croise le regard des garçons mais je ne les regarde plus. Je regarde Alice qui regarde Emmett pour lui faire signe qu’on vient le voir après ce cours. Il hoche la tête et entre dans le bâtiment lorsque la sonnerie se fit retentir, il entraîne avec lui un Edward grognon et pas du tout décider de le suivre, mais forcé de le faire vu la poigne de mon gros nounours.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Alice

Les questions que j’ai envie de poser à Bella sont nombreuses lorsque je la tiens dans mes bras attendant qu’elle se calme. Je ne sais pas ce qui a bien pu déclencher ce soudain regain de mauvais souvenirs. Mais je me doute que cela a un rapport avec Edward. La phrase qu’elle a dite dans la voiture me revient c’est là que m’a amené cette conclusion : Edward avait du faire ou dire quelque chose qui avait un quelconque semblant avec ce co***r ! Du coin de l’œil je vois mon frère avec celui-ci parler avec les copains d’Emmett ou il a un bras sur Edward l’empêchant de s’éloigner de lui. Lorsque Bella reprend contenance je lui demande si ça va mieux et elle se contente d’hocher la tête. Elle m’a aussi remercié lorsque je lui dis que je ne la quitterai pas de la journée et que ce premier cours on n’y assistera pas. On se dirige vers un tout petit parc en face du Lycée là où peut être tranquille car personne n’ose y venir. Je me retourne et vois les deux garçons nous regarder et je me concentre sur Nounours comme aime l’appeler Bella. Lui disant par des gestes que l’on viendra plus tard. Il a hocher la tête. Lorsqu’on arrive dans le parc on s’assoit sur un banc. Je me tourne pour être face à Bella.

- Est-ce que tu veux bien me dire ce qui te met dans cet état ? C’est Edward ? Il t’a fait du mal ?

Je fulmine à l’idée que ça se répète une nouvelle fois. Elle ne le supportera pas. Si ça arriver, elle mettrait fin à ses jours comme elle avait voulu le faire il y a presque sept mois de ça. Je ne le supporterai pas non plus, j’avais été anéantit parce qu’elle avait tenté de le faire.

- Alice j’ai peur… peur de me retrouver seule dans une voiture avec Edward ! Ça me rappelle trop…

Pour me parler, elle ne m’a pas regardé, préférant regarder la petite fontaine. A travers ses lunettes je vois de nouveaux ses larmes lorsqu’elle a laissé sa phrase en suspend, se mordant la lèvre pour empêcher un énième sanglot de franchir ses lèvres. Puis elle repris, ses lèvres tremblent.

- Il est venu dans l’établissement « Art de vivre », son prof lui avait recommandé de jeter un coup d’œil. Tu sais que je viens tous les Lundis, mercredis et vendredis soir pour répété mon classique.

Elle me regarda un instant. J’affirme de la tête ne voulant pas l’interrompre. Puis elle reporte son attention sur la fontaine.

- Il m’a surpris à danser. On a parlé, il voulait s’en aller me laissant seule. Mais je ne sais pas pourquoi je lui ai dit qu’il pouvait rester pendant que je dansais… Lorsque je me suis arrêter, il m’a proposé de dîner avec lui et j’ai paniqué.

Elle se retourna de nouveau vers moi et hotte ses lunettes pour que je la voie.

- Edward m’a dit les mêmes mots que « lui » ! J’ai paniqué, Alice. Je me suis retrouver sept mois en arrière ! Je ne pourrai plus faire confiance à un garçon comme avant. J’ai tellement mit du temps pour accepter que Emmett me prenne dans ses bras pour me consolée ou me touchée. Je ne veux plus revivre ça Alice.

Je la regarde avec une grande peine face à son regard qui se rembrunît à ses dernières phrases. Je la reprends dans mes bras ou elle s’y niche sans broncher.

- Ne t’inquiète pas Bella, ni moi, ni Emmett n’allons te laisser seule avec lui. Sauf si tu veux lui parler…

Elle resserre son étreint comme réponse. Pleurant encore sur mon épaule.

¤ Chapitre 8 ¤ : Souvenirs et explications (2ème partie)

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Alice

Je me trouve toujours au petit parc en compagnie de Bella. On est mardi matin et on est en train de séché le cours de math. Après tout je m’en fous un peu des cours en ce moment. Le principal problème est l’état de ma pauvre Bella qui pleure toujours dans mes bras. Elle m’a révélé la cause de son soudain chagrin et ça s’avère être en rapport avec Edward et son dur passé. Pourquoi a-t-il fallut qu’il lui dise les mêmes mots que « lui » ? Je ne peux pas dire son nom, même pas le prononcé sans avoir envie d’être dans une rage folle. Cette ordure avait empêché la seule envie de joie et envie de vivre à ma meilleure amie, ma sœur de sang. Lorsque la cloche annonçant la fin du premier cours sonne, je me lève et regarde Bella faire de même tout en mettant ses lunettes noires. Seulement elle ne peut pas les garder en classe ! Il faut que je cache sa tristesse. C’est quand on amorce notre avancer pour quitter le parc qu’on a la surprise de voir Emmett se mettre devant nous.



J’ai bien vu Bella pleuré lorsque j’ai jeté un coup d’œil vers ma sœur alors que je suis en compagnie de mon équipe de Baseball et dont je retiens ce cher Edward de mon bras sur son épaule, l’empêchant de m’échapper pour les approcher. Je me doute bien qu’il a du faire quelque chose de pas très catholique envers Bella la veille pour qu’elle réagisse comme ça. Je me retiens de le broyer sous mes mains pour lui avoir fait ça ! Bien que j’ignore ce qu’il a bien put se passer entre eux. J’ai appris avec le temps à maîtrisé ma colère protecteur sur Bella. Je la considérais comme ma petite sœur au même titre qu’Alice. Mais Bella avait eut, il y avait sept mois de cela subit une bien mauvaise soirée qui l’avait détruite et se méfier de moi. J’avais été totalement démoraliser de ce qu’elle ressentait lorsque j’étais dans la même pièce qu’elle ou que je veuille l’approcher. Heureusement qu’elle a eut de nouveau confiance en moi. Je l’ais arraché à ses types et à cette ordure. Trop tard, car le mal avait déjà été fait et je m’en veux encore aujourd’hui. J’aurai du la raccompagner cette nuit là. Je me retourne et essaye de me concentrer sur la conversation qui portait sur les adversaires qu’on aura dans quinze jours, leur points faibles, etc.… Mais mon esprit n’est pas à la conversation, mais je fais un énorme effort pour ne pas rejoindre mes sœurs.

Lorsque la sonnerie annonçant le début des cours, avec mon équipe on s’avance vers le bâtiment. Je tire Edward avec moi, ne désirant pas qu’il en profite pour aller les déranger. Il grogne disant qu’il sait marcher seul. Je n’en cru pas un simple mot. J’ai promit à Alice de l’éloigner d’elles le plus possible et je compte bien honorer cette promesse. Je regarde en leur direction et vois qu’elles ne sont plus au même endroit. Je fais un tour sur moi-même et les voient qui se dirigent vers le petit parc. Alice m’indique avec des gestes codés en remuant ses lèvres qu’elles seraient là le cours suivant, j’acquiesce ne disant rien et comprends parfaitement que Bella va se livrer à ma sœur. Elles ont besoin d’être seules. Avant d’entrée dans ma salle de cours je regarde Edward et lui demande ce qui s’est passer hier mais il ne me répond pas, ce qui m’énerve. L’heure était très ennuyeuse en biologie. Bella n’aurait pas réagit comme ça si ça c’était passer comme il le disait. Hier matin ils étaient venus ensemble et elle n’avait pas eut peur de se retrouver seule avec lui. Je dois le savoir. Alice me le dira si Bella ne souhaite pas m’en parler elle-même.

La fin du cours fini et je fonce telle une fusé en dehors pour les retrouver au petit parc. Je n’ai pas de peine à les retrouvées car elles se dirigent vers le Lycée. Je croise le regard étonné d’Alice sans doute de me trouver là.

- Emmett ?!? Que fais-tu là ?

Elle m’a questionné surprise. Mais je ne la regarde pas, mon regard est concentrer sur ma ptite mouche ! Sans crier gare comme à mon habitude je la prends dans mes bras et la sent se raidir à mon contact. Non, ça n’allait pas recommencer. Si c’est le cas, j’allais m’en vouloir toute ma vie de les avoirs fait se rencontrer. Mais alors que je desserre mon étreinte, Bella me resserre. Je peux lâcher un soupir de joie de la voir réagir comme ça. Je n’aurai pas supporté être encore une fois rejeter.

- Je ne veux plus te savoir si triste ptite mouche !

Je lui ais dit ça dans un murmure à son oreille afin qu’il n’ait qu’elle qui puisse l’entendre. Elle s’est de nouveau raidit mais se serra plus fortement contre moi. On va être tous les trois en retard. Mais quelle importance ?

- Dis-moi qu’il t’a fais du mal et je lui règle son compte !

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Bella

Parler à Alice pour lui dire ce qui me rend si triste a comme enlevé un poids à ma poitrine. Je ne veux pas la rendre triste en même temps que je le suis. J’ai cru que je n’aurai pas eu le courage de me livré ainsi à ma sœur de sang. Si je l’appelle comme ça c’est que lorsqu’on s’est rencontré dans une boite de nuit plusieurs jours après on avait décidé de s’ouvrir à l’aide d’une petite aiguille nos pouces et on se promit d’être des sœurs et frère de sang. Et depuis on ne s’était jamais quitter. On quitte le petit parc et j’allais ouvrir la bouche de nouveau pour lui demander de m’accompagner aux toilettes afin que je me rafraîchisse le visage et enlève les traces de mes larmes lorsqu’on voit Emmett en face de nous. Sans le vouloir, je me suis raidit droit comme un piquet. Alice lui demande ce qu’il fait là au lieu de nous attendre devant la classe de français. Il n’a pas répondu, n’a même pas regarder sa sœur. Il s’est précipité pour me prendre dans mes bras, moi qui redoute cet affrontement je me suis de nouveau raidi, interdite de bouger. Il l’a sentit et s’est alors écarter mais je me serre le plus possible de lui. Je ne veux pas le voir triste en ce moment et surtout pas le rejeter alors que j’ai besoin de lui. Je le sens se décontracter légèrement et me murmurer quelque chose dont j’ai la seule à entendre. Entendre soudain mon surnom dont il est le seul à le dire me réconforte. Mais la phrase qu’il dit après ça m’a réchauffé le cœur. Je m’écarte cette fois-ci pour lui faire face.

- Il ne m’a pas fait de mal. Il a dit quelque chose qui m’a ramené en arrière hier soir.

Je fais une pause mettant ma toute petite main sur sa joue énorme.

- On pourrait en parler à la cafétéria ? Je ne veux pas que vous ayez des ennuis avec les profs à cause de moi !

Je me sens coupable d’avoir fait raté un cours à Alice et je ne veux pas que ça continue avec elle et Emmett doit partir dans un différent cours que nous. J’enlève ma main de sa joue le vois dire oui avec sa tête. Alice passe une main dans mon dos et Emmett se met de l’autre côté passant son bras autour de mes épaules afin de m’approcher de lui. Il veut sans doute me montrer qu’il serrai là au cas ou j’aurai besoin de lui parler et je le regarde avec un sourire. Lorsque je reporte mes yeux devant nous je vois alors Edward nous regarder tous les trois mais surtout moi. Je sens Nounours resserrer son étreinte me forçant à continuer à marché. Je ne le regarde pas et on passe presque à côté de lui. Du moins Alice passe à quelques centimètres de lui.



Mon dieu, quelle torture que je subis depuis hier soir. Je n’ai pas le cœur de toucher mon piano me posant cent milles questions sur ce qu’a bien eut ce soudain virement de comportement sur la belle et ravissante Bella. Je lui ais juste demandé si elle voulait dîner avec moi. Et là tout à déraper et alors que je veux être seul avec elle pour avoir des informations et des explications en l’attendant dans ma voiture sur le chemin du Lycée comme je l’ais vu la veille. Mais je la vois dans une autre voiture, celle d’Alice. Et depuis elle est avec celle qui hante mes pensées. Alors que j’allais l’approcher, Emmett m’a forcé à rester avec lui et son équipe à parler stratégie. Mais cela ne m’intéresse pas. Ensuite il me tire vers l’intérieur du Lycée afin de rentrer dans nos classes. J’ai histoire et normalement c’est avec Bella que je dois partager ce cours. Il m’a interrogé sur l’état de Bella avant qu’on se sépare pour aller chacun dans notre classe, mais je n’en sais pas plus que lui. Je lui ais juste murmuré que je veux la raccompagner chez elle hier soir. Le reste du cours s’est dérouler dans un silence pesant ou seul le prof parle pour combler le vide que je ressens. Dès la fin du cours je quitte la classe me demandant si Bella va mieux, c’est en sortant légèrement de l’établissement que je vois Emmett tenir Bella dans ses gros bras. Bien que je sache qu’il n’y a rien entre eux, ils agissent comme un couple et ça me déchire une nouvelle fois le cœur. Une ou deux minutes plus tard ils se dirigent tous les trois vers moi et le bâtiment. Alice et Emmett l’entourent de leur bras, Bella lui a sourit à lui, monsieur muscles. Lorsqu’ils me virent, de suite Emmett a renforcé sa poigne sur Bella afin de la rapprocher plus près de lui me toisant d’un regard meurtrier en passant devant moi. Alice, elle me regarde d’un regard désolé mais triste aussi. Quant à Belle, elle ne me regarde pas, elle regarde le parterre comme si elle a honte de me regarder ou qu’elle ne veut plus me voir. Même si elle ne veut plus me voir, elle me doit une explication ou alors Alice me la donnera j’en suis sur. Le regard qu’elle m’a lancé veut dire quelque chose, c’est certain. S’il me faut attendre la fin des cours, soit, j’attendrais...



Le voir et ne pas pouvoir lui parler est un vrai calvaire pour moi. Mais je ne peux pas lui dire. Comment il le prendrait s’il savait que je renferme un très lourd et insupportable secret ? Il me rejetterait sans ménagement. On ne se connaît pas et pourtant je veux me livrer à lui comme j’ai parlé à Alice. Les cours se passe dans une telle lenteur que je suis sûre que quelqu’un s’est amuser à retarder le temps de s’écouler normalement, prenant un malin plaisir à me faire souffrir. A l’heure du repas je retrouve Alice et Emmett à notre table habituelle, un regard d’horizon me fait voir que Edward est seul a une table. Pendant qu’ils mangent, je raconte à Nounours ce que j’ai dit à Alice dans la matinée. Elle m’aide même à complété lorsque je suis au bord des larmes. Emmett lui s’est alors emporter, il a haussé le ton et a fait tourner toutes les têtes vers nous.

- IL N’A PAS INTÉRÊT A TE FAIRE LE MOINDRE MAL !!!!

Alice est intervenue pour le calmer car moi j’en suis incapable. Je me suis recroqueviller sur place en l’entendant et en le voyant agir de la sorte.

- Emmett, Calme-toi s’il te plaît ! Tu te donne en spectacle et elle n’a pas besoin de ça !

Elle a commencé par lui crier dessus, mais la suite de sa phrase elle l’a presque murmuré. Je suis au plus mal, je vois que tout le monde nous regarde. Ne le supportant pas, les larmes qui à fait de nouveau leurs apparitions, je pars de la table en courant sortant du local. Personne n’ose bouger à l’intérieur. Je m’installe sur un banc de la cour et enfouis mon visage dans mes bras qui entoure mes jambes.

Je ne sens ni n’entends que quelqu’un s’est assis sur le banc à côté de moi. C’est que lorsqu’il parle, me faisant sursauter que je comprends que je ne suis plus seule.

- Je suis désolé.

C’est tout ce qu’il a dit, sa voix de ténor qui j’aime bien entendre avait une pointe de tristesse. Je ne bouge toujours pas et il poursuit.

- Je ne sais pas ce qu’il t’es arriver dans le passé pour que tu ais réagi comme ça hier soir. Mais…

Il ne peut pas finir sa phrase que j’entends la grosse voix brute d’Emmett répondre à ce qu’il vient de dire.

- Moi je vais te dire ce qu’il s’est passer !

- Emmett non, je t’en pris.

J’ai juste murmuré espérant le couper dans son élan mais il ignore mon intervention et continue.

- Il y a de ça sept mois aujourd’hui que ce connard qui se disait être son petit-ami, le soir de son récital à proposer de l’emmener dîner. Mais qu’au lieu de ça il l’avait conduit dans une battisse abandonner qui était un gymnase. Et cette ordure avec ses copains ont VIOLER BELLA !!! Et si Alice et moi n’étions pas intervenue, ils l’auraient probablement tuée !!

Je serre les dents à m’en faire éclater la mâchoire. J’ai boucher mes oreilles avec mes mains ne voulant plus entendre un mot de plus. Néanmoins j’ose lever mon regard en direction d’Edward, il n’a pas bougé d’un poil. Il est en état de choc devant cette révélation qu’a fait Emmett à ma place. Je suis sure que maintenant Edward me regardera comme une pauvre fille qu’il faut protéger ou alors qu’il n’allait plus m’adresser la parole. La douce voix d’Alice se fit alors entendre. Je suis sûre qu’elle était là depuis le début.

- Emmett, viens s’il te plaît !

L’intéressé n’a pas lâché Edward des yeux, ses yeux sont remplis de haine. Il doit faire un transfert entre Nicky et lui. Il a l’air vraiment en colère et a ignoré les douces et calmes paroles de sa sœur. Mais il a fini par le lâcher des yeux et de suivre sa sœur non sans avoir dit.

- Ose toucher Bella, lui faire le moindre mal et tu es mort !

Cette phrase me fait froid dans le dos. Tout mon corps tremble face à cette menace qui est pourtant pour Edward.



A la cafétéria du Lycée, je suis seul à ma table refusant toutes celles qui voulaient venir à ma table pour soit disant faire connaissance avec moi. Mon œil, elles cherchent de la compagnie. Mais je ne suis pas ce genre de personne, je ne suis pas d’humeur à plaisanté. Car je suis dans une dépression démoralisante. A chaque fois que je croise ce bel ange, elle fait tout pour m’éviter. Je ne touche pas beaucoup à la nourriture qui se trouve dans mon plateau. Je regarde la table non loin de moi mais assez éloigner pour que je n’entende pas les personnes présentes parler. A cette table il y a Emmett et Alice. Ils attendent Bella apparemment pour commencer à manger. Je ne la vois pas venir puisque j’ai replongé mon attention a un tri de nourriture comme si Moïse allait traverser la mer de petit poids que j’ai séparé en deux. Lorsque je regarde à nouveau la table Bella parle et d’un coup Emmett s’est mit à crier, je sus que c’est de moi qu’ils parlent. Mais qu’est-ce qui l’a fait sortir de ses gonds pour qu’il cri ? Est-ce une parole de Bella à propos d’hier soir ? J’ai la confirmation en entendant Alice. Emmett n’a pas pu répliquer quoi que ce soit que Bella est partie en courant. Aucun des deux n’a bougé, ils sont rester figer tel des statues face à la réaction de leur amie. Comme tout le monde d’ailleurs, je suis le seul à bouger, jetant le contenue de mon plateau je sors dans la cour et la voie recroqueviller sur un banc. Je m’approche et m’assois. Elle n’a pas bougé. Soit, elle ne m’a pas entendu, soit, elle n’a pas sentit la légère secousse que j’ai produit lorsque j’ai toucher le banc de couleur gris. Je lui murmure un simple.

- Je suis désolé.

Elle n’a pas sillée, elle a juste sursauté se rendant compte qu’elle ne soit plus seule. Puis, je commence à vouloir parler de ce qui s’est passer hier soir ne la quittant pas des yeux. Mais je suis couper dans mes paroles par une voix dure, celle d’Emmett. Me révélant malgré la plainte de Bella ce qui s’était passé, il y a sept mois aujourd’hui. Je n’ose pas croire ce qu’il est en train de me dire. Ça ne peut pas être vrai ! Ça ne pouvait pas s’être passé ! Il a crié ce qui est arriver et a dit que si sa sœur et lui n’étaient pas intervenue à temps, Bella ne serrait plus de monde. Je ne peux pas poser mes yeux sur elle, je n’arrive pas. Alice qui est rester en arrière et silencieuse face à l’affrontement de la vérité, a demandé à Emmett de la suivre. Il hésite de nous laisser seul et avant de nous laisser, il laisse échapper une menace de mort si je fais du mal à Bella. Comment le pourrais-je ? J’en suis complètement incapable. Plusieurs minutes passe avant que je n’ose la regarder, elle regarde droit devant elle, le regard dans le vague.

- Je suis désolé pour ce qui s’est passé.

- Tu ne pouvais pas savoir ce qui s’était passer, il y a sept mois. J’aimerai tellement que ça ne me soit pas arriver…

Bella a posé son regard sur moi. C’est vrai que je ne peux pas savoir. Mais maintenant je veux tout faire pour qu’elle oublie tous ce dont elle craigne. Je pose ma main sur son bras.

- Je te montrerai que je ne suis pas comme lui, si tu me laisse une chance de rattraper mon erreur d’hier soir.

Je lui ais parlé avec une vois qui se veut rassurante. Je veux vraiment qu’elle n’ait plus peur de moi, d’être seule avec moi. Mais je crains un refus de sa part. Mais à ma plus grande surprise et joie, un sourire naît de son si beau visage où il y a encore les marques de ses larmes récemment versées.

- Il y a bien quelque chose que tu puisses faire pour moi…

- Et qu’est-ce que c’est ?

- Jouer du piano, j’aimerai tellement t’entendre…

Je ne peux pas lui refuser. Je lui dois bien ça. La main qui est encore sur son bras, se mit à migré vers son visage et à lui caresser la joue gauche effaçant les traces qu’a laissé ses larmes sur celle-ci. Un sourire sur mes lèvres. Elle me laisse, la toucher sans se reculer, sans avoir peur de moi. Je suis aux anges, Bella est un ange, mon ange, qui a fait battre mon cœur à nouveau. Et là Bella fait un geste qui me laisse figé sur place, elle s’est jeter dans mes bras enfouissant son visage contre mon torse et m’enlace le coup me prenant dans ses bras…

¤ Chapitre 9 ¤ Le pardon


*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Edward

Je l’ais tenu dans mes bras ou elle s’est jeter. Dieu que je suis ravi de l’avoir sentit si proche de moi. Je ne veux pas que cette étreinte ne s’arrête jamais. Elle veut que je lui joue du piano. Elle veut m’entendre. Je suis vraiment heureux de ce qu’elle m’a dit sur ce banc ou on se trouve, il y a de ça quelques heures. J’ai bien sur accepter, je ne peux refuser quand la plus jolie des filles de ce Lycée ait un si beau sourire ! C’est tout bonnement impossible pour moi de lui dire non. De plus dès là veille quand je l’ai vu danser, si belle, si gracieuse, je veux qu’elle entende ce que j’ai composé le soir ou je l’avais rencontré. Mais ça a duré plus longtemps que ce que je crois et j’ai dit une phrase dont je n’aurai jamais cru qu’elle allait réagir comme elle l’avait fait. Mais je ne peux pas le savoir. Je ne la connais qu’à peine et là j’ai une grande peine en apprenant par son ami ce qui lui était arrivait. Je trouve bien qu’Emmett soit très protecteur et je me suis tromper dès le départ. Il n’a rien d’un petit-ami pour Bella, mais d’un grand frère… Depuis que la dernière sonnerie a sonné pour annoncé la fin des cours je suis adosser contre ma voiture, ma Volvo grise. Ma première voiture que j’ai pu m’acheter en travaillant dans un piano-bar de Forks quelques soirs. Alors que j’attends Bella, j’ai la grande surprise de voir Emmett se diriger vers moi. Je fronce les sourcils, qu’est ce qu’il me veut encore ?

- Heu… Désolé mec de m’être emporter ce midi

Il a l’air gêné. Hein quoi il s’excuse ? Bah après tout je ne lui en veux pas du tout. J’ai eut une parole déplacé envers Bella, je l’avais même fait pleurer. Comment ne pas pété les plombs dans ce moment là ? Je le comprends.

- Je comprends ce que tu as ressentit, j’aurai fait pareil si c’était arriver à ma sœur.

Ah mon dieu ce qu’elle allait me manquer pendant ses deux mois. Ma grande sœur qui ne pensait qu’à sa beauté. Enfin cet été j’allais rentrer à la maison et j’aurai plus de plaisir à la charrier sur mes nouveaux amis et les nombreuses boutiques de cette fabuleuse ville qu’est Phœnix. Emmett m’a sourit toujours gêner par ses phrases et son comportement. Je ne veux pas du tout l’avoir à dos. Car si c’est le cas, il ne me laisse plus approcher ni Bella, ni Alice. Je me sens si bien en leur compagnie, moi qui ne connais qu’une petite partie de cette immense ville. Il s’éloigne me faisant ainsi savoir que le sujet est clos. Je soupire de soulagement d’être de nouveau ami-ami avec lui, du moins c’est ce que je pense. De loin je vois Bella et Alice près de la voiture de cette dernière. Toutes deux me sourient, elles fut vite rejointes par Emmett. A mon avis il leur a dit ce qu’il vient de me dire puisque je vois le visage de Bella s’illuminée d’avantage et lui sauter au coup.

*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*+*

POV Emmett

Toute l’après-midi j’ai tourné et retourné ce que j’ai dit à Edward à propos du passé que chacun de nous veut le plus oublier, surtout Bella. J’ai été un gros con de lui avoir fait tant de peine. Ma Bella, ma petite sœur. Je n’ai pas pu empêché ma colère de faire sortir les mots de ma bouche, faisant éclater le passé presque effacé. Elle a tellement souffert que je craigne que ça ne se reproduise à nouveau à chaque fois que je vois un garçon s’approcher d’elle. Mais ce qui m’a le plus fait réfléchir à ce que j’ai fait c’est lorsque j’ai fait demi-tour avec Alice et que je les ais vus dans les bras l’un de l’autre. J’ai réalisé alors que Edward était peut-être celui qui lui ferrai de nouveau sourire comme avant. Alice a sauté sur place à mes coter les faisant se séparer. Bella est gêner et a regardé le par terre. Edward a le visage braquer ainsi que ses muscles, il s’est peut-être attendu à ce que je réagisse mal et que je le cogne, mais je n’ai rien fait de cela, j’ai juste rebroussé chemin les laissant tous les trois. A la dernière heure de cours j’ai demandé à Alice et à Bella d’attendre devant nos voitures, elles avaient accepté sans me poser des questions. C’est à la fin des cours que je me dirige, non pas à ma Jeep, mais à une Volvo grise dont le conducteur y est adosser. Je suis très gêner ne sachant pas trop ce que j’ai à dire. Et puis au lieu de tourné autour du pot, je suis aller directement en m’excusant. Il l’accepte en me disant qu’il aurait eut la même réaction s’il s’agissait de sa sœur et j’en suis heureux. Ainsi, il n’est rien de ce que j’ai pu imaginé être la réplique de ce Nicky. Je m’en veux plus que tout. Je souris pour cacher ma gêne et je me retourne pour retrouver les filles qui sourient parce qu’il n’y a pas eut de bagarre. A leur hauteur.

- Je me suis excuser de mon comportement. Je suis désolé Bella d’avoir été aussi dur avec toi. Je me rends compte qu’Edward ne serras jamais comme lui, l’avait été.

Sans vraiment que je m’y attende, Bella poussa un cri et se jeta dans me bras. Je fus très surpris, mais heureux de la voir comme ça. Je ne supporte pas de la voir de nouveaux en pleur.

- Merci nounours, de lui laisser une chance.

- Bella, je suis un peu méfiant envers lui. On ne le connaît pas très bien. S’il te fait le moindre mal, je veux être au courant.

Je la sens plus que je ne la voie hocher la tête. Elle me lâche et avec un sourire s’adresse à Alice qui sautille en tapant des mains sur place. Décidément j’aurai mieux fait de l’appeler Lapine que Minipouss ! Ou ressort électrique !

- Alice, tu me ramène ?

Alice a hocher de la tête et s’installe déjà dans sa belle Jaguar, Bella la suis non sans regarder derrière elle, et faire un sourire à qui je devine qu’il est destiner à Edward. Je m’installe moi-même dans ma Jeep blanche et part à la suite de ma sœur, suivie par la Volvo grise derrière-moi.




Depuis ce qui s’est passer sur ce banc ce midi, je suis très confuse. Je veux être avec Edward, du moins mon cœur le veut, mais mon corps lui se rappelle ce qu’il avait vécu, il y a sept mois. Les coups qu’il avait reçu, les baisers non voulut et les déchirements de mes entrailles. J’aurai aimé que cela ne se soit jamais passé, de n’avoir jamais rencontrer Nicky. Moi qui croyais en lui, je lui avais fait confiance, lui avais donner tout mon amour, et lui avait tout écraser, tout démoli en une seule soirée. J’aurai voulu mourir pour ne plus ressentir ça. Mais heureusement que Alice et Emmett me soutiennent. D’ailleurs ceux-là ne m’ont pas lâché de toute l’après-midi et je leur remercie. Jamais je n’aurai tenu le coup toute seule s’ils m’avaient laissé dans un coin. Bien sur j’ai quelques fois croiser Edward dans les couloirs entre deux classes mais on n’a pas tellement eut le temps de parler vu que je ne suis jamais seule avec lui. Je n’en veux pas du tout à Edward pour ce qu’il a dit la veille, non j’en veux à moi-même d’avoir eut cette réaction. C’est en compagnie d’Alice qu’Emmett était venu vers nous pour nous dire de l’attendre à leurs voitures à la fin des cours. On a accepté et on s’est toutes les deux regarder se demandant pourquoi il veut qu’on l’attende. La fin des cours se fit entendre, on l’attend comme prévu entre la voiture d’Alice et celle d’Emmett. C’est là qu’on l’a vu parler avec Edward, je me crispe sur place attendant de voir une bagarre, une engueulade, des avertissements, mais rien de tous ça n’est à l’horizon. Non en effet on regarde incrédule Emmett plus gêner que je ne l’aurai jamais imaginé l’être, d’ailleurs je ne l’ais rarement vu dans cet état d’esprit. Alice a le sourire.

- A mon avis il est en train de s’excuser. C’est marrant de le voir comme ça !

Je la regarde vraiment avec de gros yeux. Je ne crois pas du tout à ce qu’elle raconte. Mais j’ose néanmoins le croire. Un sourire se fige sur mon visage. J’espère qu’Alice a raison. Peu de temps après Emmett se dirige vers nous avec un petit sourire.

- Je me suis excuser de mon comportement. Je suis désolé Bella d’avoir été aussi dur avec toi. Je me rends compte qu’Edward ne serras jamais comme il l’avait été.

Je n’ai pas besoin de plus de paroles. Il a accepté qu’Edward nous reparle à nouveau. Mon gros nounours s’est excuser, ce qui est vraiment très mignon de sa part, en plus l’air gêner qu’il a eut quelques minutes plus tôt est un vrai délice. Je lui saute aux bras en criant. Je me fous bien mal que les élèvent encore présents dans le parking me prenne pour une folle. Je suis heureuse, je sais qu’il ne peut pas me voir malheureuse, comme il me le dit souvent, je suis sa deuxième petite sœur. Sans rien dire Emmett monte dans sa Jeep et moi je me fais raccompagner par Alice. Je n’ai pas vu si Edward nous regarde ou s’il est toujours dans le parking. Mais un petit coup d’œil dans le rétroviseur m’annonce que c’est le cas.

Arriver devant chez moi, je lance un au revoir à Alice et alla directement dans ma chambre le cœur moins lourd que ce qu’il est en ce début de journée. Je m’étale sur mon lit, en prenant mon portable et l’allume. Je vois qu’il y a de marquer « vous avez trois messages non lus ». Je les regarde l’un après l’autre. Ils viennent tous de mon demi-frère, puisqu’il est le fils de ma belle-mère Patricia qu’à épouser mon père Charlie.

« Hey Bell’s ! Ça va ? Je n’ai plus de tes nouvelles ! Réponds-moi stp. »

« Ben alors tu m’as oublié Bell’s ? »

« Est-ce que ma sœurette est trop occupée pour répondre à son frérot adoré ? »

Il me fait trop sourire. Je l’aime beaucoup mon demi-frère. Sans plus attendre, je me décide à l’appeler. Forks me manque énormément. Je me languis trop d’être à la fin de cet été pour aller à la Push avec lui son meilleur ami.

- Ha ben on se rappelle qu’on a un demi-frère finalement !!

C’était bien lui ça ! Ça façon de me dire bonjour au téléphone était très spéciale.

- J’ai eut un Weekend et un début de semaine charger avec Alice ! Me défendais-je sans pour autant lui parler d’Edward.

- Ha ben vas-y raconte tout à tonton Jazz.

Je suis sure qu’il sourit à cet instant ! S’il savait le surnom qu’Emmett lui avait donné, je suis sure qu’il grognerait ! Il s’est amuser à l’appeler « Simplet » quand il n’était pas avec nous pendant les vacances de février. On en avait beaucoup rit tous les trois.

- Jazz !! Il y a d’abord eut une journée shopping avec Alice samedi. Puis avec Emmett on a jouer au guide pour un nouveau arriver qui était arriver la semaine dernière.

- Oh ma pauvre, t’as du souffrir samedi ! Un nouveau hein ?!? A coup sur, tu lui as tapé dans l’œil avec tes sourires !

- Jazz !! T’es pas possible !

Je m’exaspère de son comportement ! Dé fois je me demande s’il n’est pas le cousin d’Emmett ! Ils sont tous les deux blagueurs. Mais bon je sais de source sure que ce n’est pas le cas.

- D’où il vient ce petit nouveau ?

Revoilà le Jazz curieux qui fait surface !

- Tu ne devineras jamais ! De Forks !

- Comme le monde est petit ! Il y en a eut un qui est partit la semaine dernière et il était un excellant pianiste. Et il devait aller dans une grande ville, j’ignorai ou il allait, mais apparemment tu l’as attiré dans la ville ou tu es !

Cette phrase m’a quelque peut gêner. Edward est un si bon pianiste que son prof l’a fait changer d’établissement et de ville par la même occasion pour qu’il étudie avec le meilleur professeur le plus proche de Forks. Je veux plus que jamais l’entendre jouer. Je dois connaître qu’elle genre de musique il excellait. Avec un piano, il y a le Jazz (je pouffe de rire, cette musique est le surnom de mon demi-frère), le blues et la musique classique. Bien que je penche plus sur le classique et que peut-être je peux danser sur une de ses musiques pendant qu’il jouerait. La voix de Jasper me fit sortir de mes pensées. Il me demande si je me suis endormi et je pouffe lui disant que je m’excuse et que je réfléchis à un truc. Bien sur, il ne fut pas dupe du « truc » en disant que je pense au nouveau. Mon dieu il est devin ou quoi ? Bref pendant toute la soirée on a parlé de tout et n’importe quoi. Il me passe même Charlie et on discute jusqu’à l’heure du dîner.

Le Lendemain est un mercredi, on a l’après midi pour nous puisque les cours ne sont que le matin. Je décide de me rendre à mon endroit favori « Art de vivre » je suis abonner pour la vie. C’est le deuxième endroit après le grand parc qui est énorme face à celui qui est juste à côté du Lycée. C’est là qu’on a passé la matinée avec Alice, Emmett et bien sur Edward. Donc me voilà devant le bâtiment et là j’ai la surprise de voir une Volvo grise garé tout près. Sens m’attarder, je rentre, dis Bonjour à Bob où il m’a réservé la même salle comme tous les mercredis. Je le remercie pour cela, il est vraiment très gentil avec moi pour me garder cette salle tout en empêchant les autres abonner de venir s’introduire. Dans le couloir où je me dirige pour entrer dans ma salle, j’entends une belle et douce mélodie du à un piano. La musique m’attire et me fais dépasser ma salle pour se diriger vers la source de ce son mélodieux. Cette musique je la connais, il s’agit de « clair de Lune » de Claude Debussy. Elle me donne envie de danser dessus. Lorsque j’arrive enfin devant la salle ou trône un piano je découvre que le pianiste n’est personne d’autre qu’Edward. Mon dieu ce qu’il joue bien, Jazz a eut raison, c’est un extraordinaire pianiste, pleins de talents. Je me mets à le contempler puis à fermer les yeux en l’entendant jouer si bien. Je suis adosser au mur, un sourire joyeux est peint sur mon visage. Lorsque les dernières notes se font entendre, je rouvre mes yeux, mon sourire toujours présent et je remarque qu’il me sourit également ses yeux river sur moi.

La veille je l’ais vu partir dans la voiture d’Alice, j’ai espéré lui parler à la fin des cours mais quelqu’un en a décidé autrement. Emmett en a décidé autrement, il est venu me voir pour s’excuser d’avoir été si colérique à mon sujet. Je le comprends totalement, si ça avait été arrivé à ma grande sœur Rosalie j’aurai tué cette ordure. Enfin je sais pourquoi ma douce Bella avait réagit comme elle l’avait fait. J’ai conduit sous un silence de mort ne voulant pas allumer la radio de ma Volvo pour m’apaiser de ce qu’a accumulé comme informations dans la journée.

On est mercredi et on a cours que le matin ce qui est assez déroutant puisque normalement à Forks on n’a pas cours ce jour là ! J’ai du mal à me réveillé, pff si je me souviens bien hier pour me détendre j’ai jouer au piano tous ce qui me passent par la tête, alternant entre Beethoven, Debussy, Mozart, Vivaldi, Bach et enfin la musique qui n’a pas encore de nom dont Bella m’a tant inspirer la soirée où j’avais fait sa connaissance. Je me suis endormi sur mon piano et donc en me réveillant j’ai l’horreur de constater en me regardant dans ma glace les touches que le piano avait laissé sur ma joue droite. En grognant dans ma douche j’espère que les traces auront disparu avant que j’aille au Lycée. Fort heureusement c’est le cas. La douche a fait disparaître les empreintes. La matinée est un peu dure à suivre surtout le premier cours mais par la suite ça va mieux. En cet après-midi de libre je décide de revenir dans l’établissement que M. Bean m’avait dit d’aller pour m’entraîner. Ce bâtiment est très imposant maintenant que je le vois en plein jour. Je dis un petit bonjour à Bob qui me dit que le piano vient tout juste d’être libre. Avec un sourire je me dirige vers la salle ou celui-ci se trouve, je m’installe sur le tabouret, pris mes partissions et les installe sur le pupitre juste au-dessus du clavier. Je commence par une musique que je connais par cœur, celle de « clair de lune » de Debussy pour m’échauffer. C’est ma préférée. Puis j’enchaîne avec la 5ème symphonie de Beethoven, une musique très rythmer pour me mettre en forme. Ça me changent des musiques douces que je joue habituellement. Puis j’enchaîne avec une musique pour mon cours de musique du Lycée. J’étais très concentré sur la partition lorsque je relève les yeux et une image que je n’aurai pas cru voir si vite me rempli de joie. Là, debout à l’entrée de la salle presque en face de moi, les paupières fermées, un sourire sur les lèvres que je meurs d’envie de pouvoir touché, Bella se tenait à l’encadrement de la porte de la salle. Je la regarde tout en jouant les dernières notes, c’est là qu’elle a ouvert les yeux et je vois qu’elle est d’un coup très gêner de s’être fait prendre à m’espionner. Je souris dès que je vois ses yeux chocolat et lui demande.

- Bonjour Bella ! Ça fait longtemps que tu es là ?

Elle fait un sourire gêner. Je ne sais pas si elle va me parler de nouveau, mais j’ose espéré d’après ce que j’ai vu la veille lorsqu’Emmett était venue vers elle et Alice et que Bella avait littéralement sauté sur ce gaillard ! Néanmoins elle retrouve son sourire mais ses joues ont prises de jolies teintes rosées.
- Je viens d’arrivée, tu joues merveilleusement bien.

Elle a parlé d’une petite voix gêner, mais toujours avec ce sourire qui a de nouveau fait son apparition. Ce que j’aime ce sourire ! Je me ferrai damné ne serrais-ce que pour voir ce sourire éternellement sur ses lèvres. Moi je n’ai pas quitté mon sourire, je me décale un peu sur le tabouret et lui fit signe pour qu’elle vienne s’asseoir. Elle eut un mouvement de recul et en un instant je crus qu’elle allait partir en courant pour m’évité. C’est ce qui arriva et je soupirai de désespoir.

- Je suis désolée Edward, si je suis venue ici c’est pour m’entraîner pour l’examen de vendredi prochain. Il ne me reste que deux semaines. J’ai encore beaucoup de mouvements à travailler.

Elle me fait un signe d’excuse. Je veux qu’elle reste là et qu’elle danse pendant que je joue mais ce n’est pas possible. Je réalise que cela ne pourra pas se faire, la pièce est bien trop petite. Il faut que je touche un mot à Bob pour voir s’il est possible d’avoir un piano mural pour l’avoir dans la salle que Bella a sans doute louée pour l’année scolaire. Je veux qu’elle s’assoie à côté de moi et que je lui joue cette musique qu’elle m’a tant inspiré. J’attends qu’elle veuille m’approcher de plus près. Ce matin on s’est vu mais elle n’a pas voulu que je m’approche si elle était seule. C’est ce que m’a dit Alice avec un sourire d’excuse. Il va falloir que je lui montre que je ne suis pas le monstre qu’elle a connut avec l’autre. Sans que je ne lui dise un mot elle rajouta !

- Je serrais dans la même salle que lundi.

Je rêve ou elle veut me rassurer qu’elle ne me fuit pas ? Elle a disparu de ma vue, mais la savoir toujours présente dans ce lieu n’a fait que me remplir d’espoir et de joie. De nouveau je laisse mes doigts glisser sur les touches du piano noir, créant ainsi une nouvelle musique. Elle est ma source, ma muse d’inspiration, ma drogue, ma source de vie sans qu’elle le sache. Je veux qu’elle pense la même chose de moi. Mais comment pouvais-je faire pour gagner sa confiance ?



Le voir, me sourire n’a pas effacé le mien pour autant. Je suis heureuse de pouvoir l’entendre. Jasper n’a pas tord, Edward a un grand avenir en tant que pianiste. Je le vois voyageant dans les plus grands orchestres et que la scène soit remplie de roses en guise de remerciements. Ce que j’aimerai que ce rêve se réalise pour moi, être une grande danseuse de classique dansant « le lac des cygnes » et qu’on me couvre de fleurs et de cadeaux pour me récompenser d’avoir si bien danser. Mais je suis loin de ce rêve et j’ai beaucoup à apprendre encore pour atteindre la grâce qu’il faut.

Edward me demande depuis combien je suis là à l’écouter, je veux lui dire la vérité pour lui dire que dès les premières notes de la nouvelle musique j’étais présente. Mais je ne veux pas jouer les voyeuses. Et je décide de lui mentir et de lui dire que je ne suis là que vers la fin de cette musique dont j’ignore encore le titre et qui l’a écrite. Après un moment de silence à nous regarder dans les yeux, il s’est décaler de son banc et tapota celui-ci pour me dire qu’il me veut à ses côtés. Chose que je ne peux pas faire, je suis tétaniser de me retrouver à ses côtés. Je ne sais pas si un jour, je pourrais, me retrouver seule avec lui. J’ai peur, peur de revivre ce que j’avais toujours craint. Je bredouille une excuse qui est ma raison d’être ici dans ce lieu de musiques, que je suis venu pour répété mes pas de danses parce qu’il y a un examen dans une quinzaine de jours concernant cette musique dont je ne suis pas au point. Sans plus attendre, je me précipite vers ma salle et je mets de suite la musique si douce et si relaxante. C’est la même musique que lundi, le soir où tout c’était si bien passé et où tout à été chambouler dans ma tête la minute d’après. Mais je dois faire barrière à cette partie de la soirée. Je me dirige vers la minuscule petite cabine qu’il y a dans le fond de la pièce avec mon sac pour me changé. Dès que je suis changé, je me remets la musique « La lettre à Élise » et me mets en position initiale afin de commencé à danser. Au bout de quinze minutes de danse car j’avais mis la musique en boucle revenant sur quelques pas qui m’est encore difficile. Lorsque je mets fin à cette musique à répétition je peux entendre qu’Edward joue encore du piano et la même musique que je le morceau inconnu dont j’avais écouté à mon entrée dans sa salle. Je me surpris à me laisser aller à sa musique faisant quelques pas en me regardant dans l’immense miroir en face de moi qui est étaler tout le long du mur. Prenant mes affaires mes pas me dirigent légère comme si je marche sur un nuage vers le son produit par le piano que le pianiste fait si bien ressortir.




Je veux aller la rejoindre dans sa salle de danse. Elle a mentionné où elle se trouve, était-ce une invitation à la suivre ? Ou elle a juste dit ça au cas où je la chercherais croyant à une fuite loin de moi ? Je n’en suis plus très sur…. Je ne veux plus penser à elle pendant les quelques minutes où je sais qu’elle répète dans la salle tout près de la mienne, mais c’est tout bonnement impossible. Mon esprit s’amuse à vagabonder le soir où elle m’a laissé, la regarder danser, elle a pas mal chuter sur ses pas, mais c’était toujours relever et recommencer là où elle avait échoué. J’admirai ce petit bout de femme qui voulait à tout prix réussir là où elle n’y arrivait pas. Elle donnait le meilleurs d’elle-même. Moi-même je travaille sur cette partition que m’a donné M. Bean en travail. Mais je ne suis pas pressé, ce n’est pas noter, c’est juste un défi qu’il m’a lancer pour savoir si je suis capable de le réaliser. Cette musique douce qui défini assez bien ce que représente Bella pour moi, le compositeur qu’est Schubert, « Sérénade » est faite pour moi ou pour elle. Cela fait plus d’une quinzaine de minutes que je joue cette mélodie si belle, faisant quelques pauses pour écouter la musique sur laquelle ma douce danse. C’est la même musique que lundi et donc j’imagine assez bien qu’elle doit faire les mêmes pas de danse encore et encore. Je m’autorise une dernière fois de jouer le morceau dont j’avais un peu eut de mal à le jouer la première fois, mais là il me semble que je le fais à la perfection, je tends légèrement l’oreille et su que « La lettre à Élise » avait cessez de se faire entendre. Certainement que Bella va bientôt partir. Mais je n’entends pas ses pas qui résonnent dans le couloir, jusqu’à ce que je lève les yeux et la vois posant son sac et tout en se dirigeant vers le piano s’est mise à faire des pas de danse, tournoyant sur elle même, se laissant emporter par la musique. Tout de suite j’esquisse un sourire, mon rêve de la voir danser sur une musique s’est d’un seul coup réaliser. Ou alors c’est mes yeux qui me jouaient des tours. Dès que j’ai fini de jouer ce morceau qui reflète très bien ce qu’elle est, Bella se tourne vers moi avec un doux sourire.

- C’est très beau !

Le rouge lui a monté sur ses joues, j’adore ce petit signe de gêne chez elle.

- C’est ce que M. Bean veut que je lui joue pour savoir mon niveau. En fait, c’est un défi qu’il m’a lancé. Et je suis prêt à lui faire voir de quoi je suis capable.

Elle s’est accouder au piano, le sourire aux lèvres ne l’a pas quitté.

- Je pari que tu vas lui en mettre plein la vu ! Mais qu’est-ce que c’est comme titre ? Je ne l’ai jamais entendu !

- « Sérénade » de Schubert. C’est un morceau très peu connu je dois l’avouer car moi-même je ne le connaissais pas.

- Je peux t’entendre encore une fois avant que je parte ?

Elle a quitté mon regard pour se concentrer sur les cordes que le piano laissai voir car il était à demi-ouvert. De nouveau le sourire gêner d’avoir fait cette demande qu’elle a presque murmuré. Je ne veux pas la voir gêner ainsi, elle ne doit pas l’être. J’hoche de la tête et me mets à faire résonner une nouvelle fois les notes que le piano se plaisait à faire entendre. Du coin de l’œil je la vois de nouveau sourire.

- C’est une composition que j’ai écrite récemment !

Lui avait-je dis. Elle se laissa tomber au sol, assise les yeux fermer.




Je me suis laisser allé à la douce musique encore inconnu pour moi, le sac poser à l’entrer j’ai laissé mes pieds décider de faire ce qu’ils voulaient. Ils ne se firent pas attendre, me faisant, me déplacer tel une mouche marchant sur l’eau, me faisant tournoyer comme un chat cherchant le meilleur endroit pour se coucher. Je ne suis plus moi, je ne dansais plus sur un parquet de bois… La musique m’a emporté ailleurs… C’est à la dernière note que je rencontre son regard et son si beau sourire qui le fait ressembler à un ange tomber du ciel. L’ange Gabriel a bien mauvaise mine à côté que ce que ressemble Edward. Je m’approche du piano et par la même occasion du séduisant pianiste. Je réussi à oublier ce qui s’était passé les deux jours précédant comme s’ils n’avaient jamais existé. Mais je sais qu’ils referaient bientôt surface. Je me maudis pour avoir eux cette pensée. Je rends son sourire à Edward et lui dit que la musique qu’il viens d’interprété est très belle. Il m’informe que c’est un devoir de M. Bean son prof de musique qui lui avait lancé ce défi pour savoir réellement son niveau. Pff il était vraiment bête ce prof, mais bon je le comprends aussi, tout nouvel élève avait eu droit à un test pour savoir leurs compétences. Je lui demande le nom de cette mélodie lui disant par la même occasion qu‘elle m’était inconnue. Moi une danseuse de classique je ne connais pas cette musique, pourtant si douce et si belle. Il me dit le nom et le compositeur et il a même avoué qu’il ne connaît pas cette partition. Je quitte ses beaux yeux bleu-vert pour baisser mon regard vers les cordes qu’offrait à ma vue le piano et lui demande qu’il me joue un morceau de piano comme je lui avais demandé la veille sur le banc, d’ailleurs j’avais presque faillit l’embrasser sur ce même banc si je ne m’étais pas retenue. Un doux, merveilleux, mélodieux, magnifique son commence à s’élever dans la pièce où on se trouve. Dans un mouvement lent je me laisse tomber, assise sur le sol, je ferme les yeux pour profité pleinement de ce moment si intense pour moi. J’imagine qu’il l’a écrite pour moi… Bien que je crains que ce n’est pas le cas. J’ouvre de temps en temps les yeux pour le regarder et j’avais la surprise de voir qu’il me regardait aussi. Nos regards s’étaient croisé de temps à autre. A la fin du morceau je suis étendu sur le sol, les yeux fermés, on aurait pu croire que je dors mais ce n’est pas le cas. Alors que j’ouvre mes yeux, je tombe nez à nez avec le regard d’Edward planter sur moi, son visage à quelques centimètres du miens. Je suis surprise de cette soudaine proximité, je ne m’y suis pas du tout attendu à ça. Alors que je reste là sans bouger, il a esquissé un sourire approchant son visage du mien et me fit une bise sur le front. Je me suis alors détendue. Je fonds comme de la neige au soleil, ses lèvres sont si douces. Il se penche vers mon oreille et je sens son souffle chaud dans mon coup lorsqu’il me murmure.

- Tu es tout aussi belle quand tu danses que quand tu m’écoute.

Je ne sais plus où me mettre ou si je dois répondre quelque chose à cet aveu qu’il me fait. Il faut que je réagisse, que je dise quelque chose, sinon je vais passer pour une gourde. Alors que j’ai également son oreille à porter de ma bouche je lui réponds avec le même timbre de voix dont il me parle. Il s’était assit à côté de moi et s’était pencher pour que nos visages aient été si proche.

- Tu es si merveilleux au piano…

Son sourire s’est élargit alors qu’il se relève, il me tend la main pour m’aider et je la prise un peu tremblante. La même scène qui s’était fait au grand parc s’était alors jouée devant mes yeux. Et je priais silencieusement pour ne pas tomber et l’entraîner avec moi. Fort heureusement ça n’arrive pas, enfin j’ai quelque peu glisser mais pas tomber. Tous les deux on se dirige vers la porte de la sortie de la salle, j’ai récupéré mon sac et lui aussi. On dit au revoir à mon cher Bob qui aborde un grand sourire et un timbre de voix heureux. Décidément c’est le jour le plus heureux pour tout le monde. Dehors le soleil est encore présent malgré l’heure tardive, l’été n’est pas bien loin et les jours agrandissent à grand pas. Je n’ose pas demander à Edward de me raccompagner, et il ne me le demande pas non plus sachant que ce n’est pas encore le bon moment pour que je sois dans une voiture seule avec lui. Mais néanmoins il m’a juste demandé par galanterie j’imagine s’il pouvait me conduire jusqu’à chez moi. Je secoue ma tête de gauche à droite avec un sourire d’excuse et il a compris. Il a de nouveau pauser ses lèvres sur mon front et s’engouffre dans sa Volvo grise. J’ai eu un geste de toucher mon front là où il a jadis déposé ses douches et chaudes lèvres. J’ai un énorme sourire, heureuse par ce simple geste d’affection. J’entre chez moi dans un état second.